Master 2 Etudes Européennes et Internationales

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Le programme doctoral

Investissement des doctorants dans la vie collective du CDRE et accompagnement vers leur vie post doctorale, telles ont toujours été les priorités affichées par le laboratoire.

Présentation

 La formation doctorale permet à nos jeunes chercheurs de s’inscrire dans une dynamique collective au sein d’un laboratoire de recherches largement ouvert sur l’extérieur. En sus de l’encadrement proposé par l’Ecole Doctorale SHS 481, les doctorants rattachés au CDRE participent à de nombreuses activités en lien avec leur intégration professionnelle future : 

  • L'implication du laboratoire dans des réseaux d’expertises européens(Odysseus, Unita retrIA) leur donne l’occasion de se forger une solide expérience au sein de leur domaine de recherche dans le cadre d’études ou de projets réalisés le plus souvent pour le compte des institutions européennes
  •  Les jeunes chercheurs participent également à la rédaction de la rubrique ELSJ de l’Annuaire de droit de l’Union européenne, sous la direction du Professeur émérite Henri Labayle, (ADUE, Panthéon-Assas, dir.Fabrice Picod et Claude Blumann)
  •  Les doctorants ont l’opportunité, dans le cadre de leur formation doctorale, de dispenser des enseignements
  • Chaque année, ils organisent une Journée de la jeune recherche en lien avec l’actualité européenne

Toutes ces activités préparent nos futurs docteurs en droit à intégrer le monde de l’enseignement et de la recherche, au niveau national et européen mais aussi celui des think tanks et des ONG, du tissu associatif ou du milieu de l’entreprise. L’avocature, la magistrature ou les concours administratifs sont également ouverts à celle ou celui qui a obtenu son grade de docteu

Témoignages

"Le CDRE, qui m’accueille depuis le début de ma thèse dans des locaux agréables et à dimension humaine constitue un environnement scientifique de grande qualité pour ma recherche doctorale, avec des ressources documentaires variées, très nombreuses et bien organisées. Le centre offre ainsi les moyens de pouvoir mener des recherches approfondies et pertinentes sur nos sujets de thèse. Au-delà du côté matériel, il met à disposition une vraie écoute à travers une équipe ouverte et plurielle spécialisée en droit, toujours prête à aider les apprentis chercheurs que nous sommes, regroupés au sein d’une petite équipe sympathique et volontaire.

Mener une thèse au CDRE me permet de suivre un parcours plein d'opportunités et d’acquérir de nombreuses compétences à valoriser après la soutenance de la thèse. Je peux ainsi mener des TD auprès des étudiants pour parfaire ma pédagogie et ma prise de parole en public. Je suis de nombreuses formations de l’Ecole doctorale dispensées sur les campus de Pau et de Bayonne (doctoriales transfrontalières, cours de langues, formations axées sur le monde de l'entreprise). Je participe, chaque année, à l’organisation de la journée d’étude des doctorants qui permet, sous l’encadrement du corps professoral, de développer des compétences tant scientifiques qu’organisationnelles. Faire mon doctorat au CDRE est enfin l’occasion de pouvoir profiter d'un important réseau de chercheurs entretenu par les différents acteurs du centre au fil des années, ce qui est une véritable opportunité pour nouer des contacts pour la poursuite de mon parcours académique et professionnel."

Thomas, 2022

Le parcours "coopération transfrontalière et inter-territoriale" est ouvert à des étudiants, juristes ou non, désireux d'acquérir une expertise caractérisée par :
                              - une dimension transdisciplinaire 
                              - un appui fort sur des exercices professionnalisants dans le contexte transfrontalier franco-espagnol
                              - le développement de compétences opérationnelles en montage et management de projet
                              - une capacité d'analyse des différentes dynamiques territoriales transfrontalières
                              - un savoir-faire acquis au contact de nombreux professionnels.

Master CTI gégé essai 2

Double diplôme :

  • Master Droit pénal européen et international (Mention Droit pénal et sciences criminelles de l’Université de Bordeaux)
  • Master Études européennes et internationales (Mention Droit Pénal Européen et International de l'UPPA)

Inscription et enseignements uniquement à l'Université de Bordeaux.

Capacité d’accueil : 25 étudiants

Candidatures ouvertes à tout étudiant titulaire d'une licence en droit (ou diplôme étranger équivalent), quelle que soit son université d'origine.

Le parcours "DEAP"  (anciennement  intitulé Juriste Européen) s'adresse à des juristes, privatistes comme publicistes, ou à des politistes désireux de maîtriser les composantes indispensables à leur formation.

Qu'il s'agisse "d'européaniser" leurs acquis de droit interne ou bien de se spécialiser résolument en matière européenne, il vous ouvre deux voies : la voie "recherche" et la voie "professionnelle". Il cumule donc les aspects théoriques et pratiques des différents secteurs de la vie publique et économique européenne avec une volonté forte de donner une dimension concrète, opérationnelle et inter-active aux enseignements dispensés.

Ce parcours a pour particularité unique d'associer très largement aux enseignements des universitaires européens réputés autant que des professionnels de l'Union.
Galeries de photos et témoignages d'anciens étudiants (M2 ex JE) permettent de mesurer la diversité et la richesse des débouchés que ce parcours européen ouvre, en France comme à l'étranger.  

  Maquette détaillée en téléchargeant la "Maquette des enseignements" →

Capture maquette DEAP

 

Double diplôme :

  • Master Droit pénal européen et international (Mention Droit pénal et sciences criminelles de l’Université de Bordeaux)
  • Master Études européennes et internationales (Mention Droit Pénal Européen et International de l'UPPA)

Inscription et enseignements uniquement à l'Université de Bordeaux.

Capacité d’accueil : 25 étudiants

Candidatures ouvertes à tout étudiant titulaire d'une licence en droit (ou diplôme étranger équivalent), quelle que soit son université d'origine.

→ Lien vers le site de l'Université de Bordeaux : https://droit.u-bordeaux.fr/Formations/Offre-de-formation/Masters/Mention-Droit-penal-et-sciences-criminelles/Master-Droit-penal-europeen-et-international

 

 


Le CDRE met en ligne à la disposition de ses chercheurs et de ses lecteurs une documentation regroupant les grands textes législatifs et la jurisprudence de l'Union relatifs aux politiques couvertes par l'Espace de liberté, sécurité et justice de l'Union. Ces documents sont extraits en format HTML et ils comportent leurs références au Journal officiel de l'Union. Ils sont consultables et imprimables librement.

La documentation en ligne est classée en suivant les rubriques du titre V du Traité sur le fonctionnement de l'Union européenne relatif à "l'espace de liberté, sécurité et justice". Chacune de ces rubriques comporte trois entrées : législation, jurisprudence, documents.

- la rubrique "Frontières" correspond à l'article 77 du TFUE et elle contient deux champs : "Schengen" et "contrôles aux frontières". 
- la rubrique "Asile" correspond à l'article 78 du TFUE.
- la rubrique "Immigration" correspond à l'article 79 TFUE et elle comporte deux champs : "immigration légale" et "lutte contre l'immigration irrégulière".
- la rubrique "Coopération judiciaire civile" correspond à l'article 81 TFUE.
- la rubrique "Coopération judiciaire pénale" correspond aux articles 82 et suivants TFUE et elle comporte trois champs : "reconnaissance mutuelle", "droit pénal matériel", "acteurs".
- la rubrique "Coopération policière" correspond aux articles 85 et suivants du TFUE.

Protection des données à caractère personnel : interdiction d’un stockage de masse généralisé et indifférencié, oui mais…. Réflexions sur les arrêts de la CJUE, 6 octobre 2020, Privacy international (aff. C-623/17), et La Quadrature du Net, French Data Network, Ordre des barreaux francophones et germanophone (aff. jointes C-511/18, C-512/18, C-520-18)

Sylvie Peyrou-Bartoll, Maître de conférences HDR, CDRE Bayonne

Cinq ans jour pour jour après le célèbre arrêt Schrems (6 octobre 2015, aff. C-362/14) ayant invalidé le Safe Harbor et confirmé l’interdiction, par le droit de l’Union, du stockage de masse de façon généralisée et indifférenciée de données à caractère personnel, la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE), par deux arrêts en date du 6 octobre 2020 apporte une nouvelle pierre, substantielle, à l’édifice de la protection des données en Europe… si ce n’est la clef de voûte, parachevant la construction de ce droit fondamental, proclamé et garanti par la Charte des droits fondamentaux de l’UE, mais largement mis à mal par les politiques des Etats membres en matière de lutte contre la criminalité et le terrorisme.

Ces arrêts fleuves (presque 80 pages pour le second), foisonnants et extrêmement complexes, prennent un peu plus de relief et de sens à la lumière des conclusions de l’Avocat général Sanchez-Bordona du 15 janvier 2020 (voir par exemple : « Renseignement et terrorisme : quand le code de la sécurité intérieure se trouve dans le viseur du juge européen », Conclusions Avocat Général Campos Sanchez-Bordona, 15 janvier 2020, Pierre Berthelet & Sylvie Peyrou, CREOGN N° 47, avril 2020).

La première idée majeure qui ressort ici des deux arrêts est la condamnation réitérée du stockage de masse des données à caractère personnel, de façon généralisée et indifférenciée, dans le droit fil des jurisprudences Digital Rights Ireland (CJUE 8 avril 2014, aff. jointes C-293/12, C-594/12)  et Tele2 Sverige (21 décembre 2016, Tele2 Sverige AB, aff. C‑203/15 et Secretary of State for the Home Department, aff. C‑698/15). Une telle condamnation, si elle est clairement affirmée, n’en est pas pour autant absolue, laissant place en effet à des tempéraments qui viennent en atténuer la portée (I). Le principe de l’interdiction est ensuite largement nuancé – sinon écorné ? – par la formulation de multiples exceptions, certes limitées et encadrées mais néanmoins nombreuses (II), esquissant une sorte de protection dégressive suivant des cercles concentriques s’éloignant peu à peu du noyau dur du droit fondamental à la protection des données.

I) Une condamnation réitérée mais tempérée de la conservation généralisée et indifférenciée des données de communications électroniques

Depuis l’historique arrêt Digital Rights Ireland ayant invalidé la directive 2006/24/CE relative à la rétention des données de communication électroniques, le juge européen n’a eu de cesse de réitérer sa condamnation de tout stockage de masse de données de façon généralisée et indifférenciée. Une telle solution a été en effet reprise dans l’arrêt Schrems du 6 octobre 2015, mais aussi et surtout dans l’arrêt Tele2 Sverige, tirant les conséquences au niveau du droit national, de l’invalidation de la directive 2006/24/CE, enjoignant aux fournisseurs de services de communication électronique, de conserver les métadonnées de communications à des fins de lutte contre la criminalité grave ou le terrorisme.

C’est encore une fois l’inépuisable débat entre sécurité et liberté qui a suscité la question préjudicielle posée, notamment, par le Conseil d’Etat français aux juges de Luxembourg en ces termes : « L’obligation de conservation généralisée et indifférenciée, imposée aux fournisseurs sur le fondement des dispositions permissives de l’article 15, paragraphe 1, de la directive [2002/58], ne doit-elle pas être regardée, dans un contexte marqué par des menaces graves et persistantes pour la sécurité nationale, et en particulier par le risque terroriste, comme une ingérence justifiée par le droit à la sûreté garanti à l’article 6 de la [Charte] et les exigences de la sécurité nationale, dont la responsabilité incombe aux seuls États membres en vertu de l’article 4 [TUE] ? ».

La Cour a été amenée tout d’abord à effacer les doutes relatifs à l’applicabilité en l’espèce de la directive 2002/58, « Vie privée et communications électroniques ». Un certain nombre d’Etats membres en contestaient en effet l’applicabilité au motif que cette directive ne saurait s’appliquer aux règlementations nationales ayant pour finalité la sauvegarde de la sécurité nationale, domaine relevant de leur seule compétence. la Cour a ici interprété l’article 15, paragraphe 1, de la directive 2002/58, lu en combinaison avec l’article 3 de celle-ci, en ce sens que relèvent du champ d’application de cette directive non seulement une mesure législative qui impose aux fournisseurs de services de communications électroniques de conserver les données relatives au trafic et les données de localisation, mais également une mesure législative leur imposant d’accorder aux autorités nationales compétentes l’accès à ces données. En effet, de telles mesures législatives impliquent obligatoirement un traitement, par lesdits fournisseurs, desdites données et ne sauraient, en ce qu’elles régissent les activités de ces mêmes fournisseurs, être assimilées à des activités propres aux États, visées à l’article 1er, paragraphe 3, de ladite directive (voir § 96 du second arrêt, qui sera ici cité de façon récurrente).

Se livrant ensuite à une interprétation téléologique de la directive, en se fondant sur son contexte et sur les objectifs poursuivis par elle, le juge souligne que la finalité de celle-ci est de « protéger les utilisateurs des services de communications électroniques contre les dangers pour leurs données à caractère personnel et leur vie privée résultant des nouvelles technologies et, notamment, de la capacité accrue de stockage et de traitement automatisés de données. » (§ 106). Ce principe de garantie de confidentialité des communications et des données y afférentes peut toutefois être battu en brèche, dès lors – selon la formule consacrée pour tout droit fondamental non absolu – qu’une limitation constitue une mesure nécessaire, appropriée et proportionnée, au sein d’une société démocratique, pour sauvegarder la sécurité nationale, la défense et la sécurité publique, ou assurer la prévention, la recherche, la détection et la poursuite d’infractions pénales. La Cour souligne toutefois, pour tempérer de telles atteintes, que la « faculté de déroger….ne saurait justifier que la dérogation à l’obligation de principe de garantir la confidentialité des communications électroniques et des données y afférentes (…) devienne la règle » (§ 111).

La Cour va dès lors estimer que la conservation des données relatives au trafic et des données de localisation constitue, par elle-même, non seulement, une dérogation à l’interdiction, prévue à l’article 5, paragraphe 1, de la directive 2002/58, faite à toute autre personne que les utilisateurs de stocker ces données, mais aussi, une ingérence dans les droits fondamentaux au respect de la vie privée et à la protection des données à caractère personnel, consacrés aux articles 7 et 8 de la Charte. S’appuyant sur son arrêt Digital Rights Ireland, elle rappelle à quel point ces données sont susceptibles de révéler des informations sur un nombre important d’aspects de la vie privée des personnes concernées, y compris des informations sensibles (« Prises dans leur ensemble, lesdites données peuvent permettre de tirer des conclusions très précises concernant la vie privée des personnes dont les données ont été conservées, telles que les habitudes de la vie quotidienne, les lieux de séjour permanents ou temporaires, les déplacements journaliers ou autres, les activités exercées, les relations sociales de ces personnes et les milieux sociaux fréquentés par celles-ci. En particulier, ces données fournissent les moyens d’établir le profil des personnes concernées, information tout aussi sensible, au regard du droit au respect de la vie privée, que le contenu même des communications » § 117).

Rappelant ensuite les principes de son classique contrôle de proportionnalité, la Cour note que les dérogations au principe de confidentialité des communications ne sauraient être acceptées que dans la mesure où elles apparaissent comme nécessaires, appropriées et proportionnées au sein d’une société démocratique au regard des objectifs poursuivis. Une « pondération équilibrée » doit être ainsi réalisée entre ces derniers et les droits fondamentaux en cause.

Or, s’agissant des mesures législatives prévoyant la conservation préventive des données relatives au trafic et des données de localisation aux fins de la sauvegarde de la sécurité nationale, la Cour n’énonce pas de prime abord une interdiction de toute conservation généralisée et indifférenciée desdites données. Bien au contraire, la Cour souligne le caractère supérieur de l’objectif de sauvegarde de la sécurité nationale, estimant que ce dernier est  « susceptible de justifier des mesures comportant des ingérences dans les droits fondamentaux plus graves que celles que pourraient justifier [l]es autres objectifs » (lutte contre la criminalité en général, même grave, ainsi que de sauvegarde de la sécurité publique)(§ 136).  Elle estime donc au final que la directive 2002/58 « ne s’oppose pas, en principe, à une mesure législative qui autorise les autorités compétentes à enjoindre aux fournisseurs de services de communications électroniques de procéder à la conservation des données relatives au trafic et des données de localisation de l’ensemble des utilisateurs des moyens de communications électroniques pendant une période limitée, dès lors qu’il existe des circonstances suffisamment concrètes permettant de considérer que l’État membre concerné fait face à une menace grave (…) pour la sécurité nationale qui s’avère réelle et actuelle ou prévisible » (§ 137).

Ceci signifie clairement que, pour les données recueillies et traitées dans cet objectif de sécurité nationale, la Cour autorise le stockage de masse de façon généralisée et indifférenciée, à la double condition que ce soit pendant une période limitée, et que soit reconnue l’existence d’une menace grave pour la sécurité nationale « réelle et actuelle ou prévisible ». Les menaces terroristes qui pèsent sur nos sociétés aujourd’hui – que l’actualité illustre tragiquement de façon récurrente, comme récemment encore l’inqualifiable assassinat d’un enseignant parce qu’il souhaitait simplement inculquer à ses élèves les valeurs d’ouverture d’esprit liées à la liberté d’expression – ne sont-elles pas une « menace grave pour la sécurité nationale qui s’avère réelle et actuelle et prévisible » ?  Ajoutons que l’injonction de conservation des données en cause par les fournisseurs de services de communication électronique peut même être renouvelée « en raison de la persistance d’une telle menace » (§ 138), mais doit être encadrée par des garanties strictes. La Cour prescrit en particulier la mise en place d’un « contrôle effectif soit par une juridiction, soit par une entité administrative indépendante, dont la décision est dotée d’un effet contraignant, visant à vérifier l’existence d’une de ces situations ainsi que le respect des conditions et des garanties devant être prévues » (§ 139).

Ainsi, avant même que de poser un quelconque principe d’interdiction d’un stockage de masse de données de façon généralisée et indifférenciée, la Cour ouvre clairement une brèche dans le principe, qui « semble s’adresser essentiellement aux services de renseignement » (voir G. Moréas, https://www.lemonde.fr/blog/moreas/2020/10/11/fadettes-pirouettes-cacahouetes/). Ici, les conséquences ne sont pas négligeables au demeurant s’agissant du système français institué par la Loi renseignement du 24 juillet 2015. Si la Commission nationale de contrôle des techniques de renseignement (CNCTR) est bien une autorité administrative indépendante, celle-ci ne génère que des avis, et si elle estime que le Premier Ministre écarte ses critiques, elle ne peut que saisir le Conseil d’Etat. On est loin semble t-il de l’idée d’un véritable contrôle préalable tel qu’exigé ici par la Cour de justice. Mais si c’est incontestablement une difficulté pour le système français du renseignement, elle n’apparaît pas pour autant insurmontable.

S’agissant, ensuite, des mesures législatives prévoyant la conservation préventive des données relatives au trafic et des données de localisation aux fins de la lutte contre la criminalité et de la sauvegarde de la sécurité publique, la Cour, suivant en cela ses jurisprudences Tele2 Sverige, déjà évoquée, et Ministerio Fiscal (aff. C-207/16, 2 octobre 2018, voir notre commentaire ici), estime que seule la lutte contre la criminalité grave et la prévention des menaces graves contre la sécurité publique sont de nature à justifier des ingérences graves dans les droits fondamentaux. Soulignant ici le caractère sensible des informations concernées, la Cour voit dans leur conservation une ingérence grave, concernant la quasi-totalité de la population, sans qu’aucune différenciation, limitation ni exception soient opérées en fonction de l’objectif poursuivi. Selon elle, la mise ne balance entre la protection des droits fondamentaux et l’objectif d’intérêt général ici poursuivi ne sauraient justifier « des ingérences aussi graves que celles que comporte une réglementation prévoyant une conservation des données relatives au trafic et des données de localisation dans les droits fondamentaux consacrés aux articles 7 et 8 de la Charte de la quasi-totalité de la population sans que les données des personnes concernées soient susceptibles de révéler un lien, au moins indirect avec l’objectif poursuivi » (§ 145). C’est donc sans surprise à une condamnation vigoureuse de toute conservation de telles données de façon généralisée et indifférenciée que se livre la Cour (§ 141).

La Cour ne ferme pas pour autant toutes les portes, puisqu’elle s’empresse d’ajouter que, néanmoins, dans ce cadre et dans cet objectif, une conservation ciblée (ciblant des catégories de personnes ou des lieux) de données relatives au trafic et de données de localisation est parfaitement possible, afin de répondre aux objectifs de lutte contre la criminalité grave et de prévention d’atteintes graves à la sécurité publique (§ 146). Et ici encore, si « la durée ne saurait dépasser celle qui est strictement nécessaire » (§ 151), un renouvellement éventuel est envisageable en cas de persistance de la menace.

La Cour envisage par ailleurs la question de l’analyse automatisée des données relatives au trafic et des données de localisation. Il s’agit du filtrage de toutes les données concernées par les fournisseurs de services, à la demande des autorités nationales compétentes et selon des critères fournis par elles. Ce qui ressemble ici à un traitement algorithmique de toutes les données recueillies, est analysé par la Cour comme un traitement généralisé et indifférencié, l’ingérence s’avérant particulièrement grave dès lors qu’elle couvre de manière généralisée et indifférenciée les données des personnes faisant usage des moyens de communications électroniques (§174). Dans la logique de ce qui a été énoncé plus haut, la Cour ne juge justifiée une telle ingérence que « dans des situations dans lesquelles un État membre se trouve face à une menace grave pour la sécurité nationale qui s’avère réelle et actuelle ou prévisible, et à la condition que la durée de cette conservation soit limitée au strict nécessaire » (§ 177).  Comme énoncé ci-dessus, une telle ingérence doit toutefois être limitée au strict nécessaire et doit pouvoir faire l’objet d’un contrôle effectif soit par une juridiction, soit par une entité administrative indépendante. La Cour ajoute de plus que, si tant est que de telles analyses automatisées soient justifiées, elles ne sauraient se fonder uniquement sur des données à caractère sensible.

La Cour envisage enfin le recueil en temps réel des données relatives au trafic et des données de localisation. La disposition visée du code de sécurité intérieure français permet au service compétent, à tout moment pendant la durée de l’autorisation, de localiser, de manière continue et en temps réel, des équipements terminaux utilisés, tels des téléphones mobiles (§ 185). La Cour analyse cette mesure comme une ingérence particulièrement grave qui, si elle peut être justifiée par l’objectif de lutte contre le terrorisme, est particulièrement intrusive, et ne saurait dès lors être mise en œuvre « qu’à l’égard des personnes pour lesquelles il existe une raison valable de soupçonner qu’elles sont impliquées d’une manière ou d’une autre dans des activités de terrorisme » (§ 188). En tout état de cause, les mêmes exigences qu’énoncées précédemment s’imposent, notamment un contrôle préalable effectué soit par une juridiction, soit par une entité administrative indépendante, dont la décision est dotée d’un effet contraignant.

Au total, s’agissant de la formulation des principes, si la Cour rappelle incontestablement le principe d’interdiction de stockage de masse de données de façon généralisée et indifférenciée, elle le fait cependant en des termes et selon des modalités telles qu’elle laisse la porte entrouverte à la persistance d’un tel stockage de données par les services de police et de renseignement, mais sous réserve du respect des conditions posées par elle. La marge est étroite mais loin d’être inexistante. L’impression selon laquelle la Cour lâcherait un peu de lest au profit des exigences sécuritaires se confirme ensuite à la lecture des exceptions au principe que la Cour formule, exceptions qui pour être très encadrées, n’en sont pas moins importantes.

II) Des exceptions au principe importantes bien qu’étroitement encadrées

Les exceptions au principe d’interdiction de tout stockage de masse da façon généralisée et indifférenciée, concerne notamment les mesures législatives prévoyant la conservation préventive des adresses IP et des données relatives à l’identité civile aux fins de la lutte contre la criminalité et de la sauvegarde de la sécurité publique.

La Cour ici procède à une véritable cartographie des données concernées, esquissant en quelque sorte des cercles concentriques permettant de « classer » les données selon le degré de gravité de l’ingérence que leur conservation constitue.

Le cœur, le premier cercle, est celui des données relatives au trafic et des données de localisation, envisagées ci-dessus. L’ingérence grave que constitue leur conservation obéit à l’interdiction de conservation ou à des aménagements de celle-ci en fonction des objectifs poursuivis, comme vu précédemment.

Le deuxième cercle (traité à la fin de l’arrêt) serait celui des mesures législatives prévoyant la conservation rapide des données relatives au trafic et des données de localisation aux fins de la lutte contre la criminalité grave. Il s’agirait ici de conserver les données en question au-delà du délai légal normalement prévu, aux fins de l’élucidation d’infractions pénales graves ou d’atteintes à la sécurité nationale, « et ce tant dans la situation où ces infractions ou ces atteintes ont déjà pu être constatées que dans celle où leur existence peut, au terme d’un examen objectif de l’ensemble des circonstances pertinentes, être raisonnablement soupçonnée » (§ 161). La Cour ici, de façon très pragmatique, va reconnaître encore aux autorités nationales la « possibilité, au moyen d’une décision de l’autorité compétente soumise à un contrôle juridictionnel effectif, d’enjoindre aux fournisseurs de services de communications électroniques de procéder, pour une durée déterminée, à la conservation rapide des données relatives au trafic et des données de localisation dont ils disposent » (§ 163). La Cour insiste toutefois sur l’encadrement étroit des modalités d’une telle conservation, qui doit être limitée au strict nécessaire, s’agissant notamment de la durée de conservation. La finalité d’une telle conservation doit en outre être clairement établie et enfin, et surtout, seule la lutte contre la criminalité grave et, a fortiori, la sauvegarde de la sécurité nationale, sont de nature à justifier une telle ingérence.

Le troisième cercle est ensuite constitué par les données d’adresses IP, permettant d’identifier la personne physique propriétaire de l’équipement terminal à partir duquel une communication au moyen de l’Internet est effectuée. Selon la Cour, de telles données présentent un « degré de sensibilité moindre que les autres données relatives au trafic » (§ 152), même si elles peuvent permettre le « traçage exhaustif du parcours de navigation d’un internaute » concourant à « établir le profil détaillé de ce dernier » (§153). Pour la Cour, une mesure législative prévoyant la conservation généralisée et indifférenciée des seules adresses IP n’apparaît pas, en principe, contraire à l’article 15, paragraphe 1, de la directive 2002/58, lu à la lumière des article 7, 8 et 11 ainsi que de l’article 52, paragraphe 1, de la Charte, pourvu que cette possibilité soit soumise au strict respect des conditions matérielles et procédurales devant régir l’utilisation de ces données. La Cour souligne toutefois que seule la lutte contre la criminalité grave et la prévention des menaces graves contre la sécurité publique sont de nature, à l’instar de la sauvegarde de la sécurité nationale, à justifier cette ingérence.

Le quatrième cercle enfin est constitué des données relatives à l’identité civile des utilisateurs des moyens de communication électronique, données qui, par nature, ne renseignent en rien sur la vie privée de ces personnes. C’est pourquoi la Cour, à l’instar de ce qu’elle  avait déjà tranché dans l’arrêt Ministerio fiscal précité, estime que l’ingérence que comporte une conservation de ces données ne saurait, en principe, être qualifiée de grave (§ 157). Elle en conclut dès lors que des « mesures législatives visant le traitement de ces données en tant que telles, notamment leur conservation et l’accès à celles-ci à la seule fin de l’identification de l’utilisateur concerné, et sans que lesdites données puissent être associées à des informations relatives aux communications effectuées, sont susceptibles d’être justifiées par l’objectif de prévention, de recherche, de détection et de poursuite d’infractions pénales en général » (§ 158).

A noter, in fine, que la Cour, a été aussi amenée à répondre à une question très importante et complexe de procédure pénale, qu’elle tranche – pour résumer – en estimant que le juge national doit écarter les informations et éléments de preuve obtenus par une conservation généralisée et indifférenciée des données de trafic et de localisation, prohibée par le droit de l’Union. Il y a là un facteur de bouleversement considérable des procédures pénales en cours, de nombreux « recours risquant d’être déposés devant les juridictions quant aux moyens de preuve utilisés actuellement dans de nombreuses affaires judiciaires » (voir Eric Freyssinet, « Décision de la CJUE du 6/10/2020 sur les données de connexion).

En conclusion, si le juge européen semble remettre en question de nombreuses pratiques étatiques en matière de renseignement ou de procédures judiciaires, une lecture attentive de ces arrêts montre qu’il laisse toutefois place aux législateurs nationaux – auxquels il s’adresse – afin de dessiner de nouvelles voies permettant une conciliation entre les deux exigences a priori irréconciliables que sont sécurité et liberté. La route est étroite, les exigences contraignantes, mais les enjeux n’en valent-ils pas la chandelle, face à l’impérieuse nécessité de nos sociétés de se défendre contre le terrorisme pour défendre les droits fondamentaux de leurs citoyens ?

 

 
Le CDRE accueille un Centre de documentation spécialisé en droit et politiques de l'Union européenne. Il est accessible aux Masters EEI et aux chercheurs.

Le Centre de documentation du CDRE est labellisé CDE par la Commission européenne et est membre du réseau d'information Europe Direct qui regroupe 52 centres d'information en France et 470 en Europe. Il bénéficie à ce titre d'un accès privilégié aux publications de l'Union européenne.

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Année 2017-2018

Janvier 2018 - Décembre 2019 : David Ruano Delgado (UPV/EHU, Espagne)

Juin - Juillet 2018 : Maria Fernandez de Casadevante (UPV/EHU, Espagne)

Juin - Août 2017 : Maria Fernandez de Casadevante (UPV/EHU, Espagne)

Juillet 2017 : Javier Blazquer (Universidad Publica de Navarra, Espagne )

Mai - Juillet 2017 : Isabel German (UPV/EHU, Espagne)

 

Année 2016-2017

Leyre Elziar (UPNA, Espagne)

Rosaria Sicurela (Université de Catania, Italie)

Carmen Agoues (UPV/EHU, Espagne)

Idoia Otaegi Aizpurua (UPV/EHU, Espagne)

Julen Llorens (UPNA, Espagne)

Inaki Zurutuza (UPNA, Espagne)

 

Année 2015-2016

Irune Suberbiola Garbizu (UPV, EHU, Espagne)

 

Années antérieures

 

2013

Miren Sarasibar (UPNA, Espagne) 

Maria Cruz Oliver Sola (UPNA, Espagne) 

Andrea Bertomeu Navarro (UPV, EHU, Espagne) 

 2012

Nicolas Alonso Moreda (UPV/EHU, Espagne) 

Oscar Abalde Cantero (UPV/EHU, Espagne) 

Maria Dolores Bollo Arocena (UPV/EHU, Espagne) 

Maite Zelaia Garagarza (UPV/EHU, Espagne) 

Ander Ibarloza Arrizabalaga (UPV/EHU, Espagne) 

Inigo Irureta Goiena (UPV/EHU, Espagne)

Juan Ignacio Ugartemendia (UPV/EHU, Espagne)

Goizeder Otazua (UPV/EHU, Espagne)

Izaskun Orbegozo Oronoz (UPV/EHU, Espagne)

Maria Jose Otazu (UPNA, Espagne)

Elsa Sabater Bayle (UPNA, Espagne)

 

 

 

 

 

 

 

Le bilan scientifique du CDRE est présenté en suivant le modèle HCERES, c'est-à-dire avec l'exposé de la production scientifique puis de l'attractivité scientifique du laboratoire. 

Toutes les publications du laboratoire sont déposées sur la base HAL depuis 2015 :  https://hal-univ-pau.archives-ouvertes.fr/CDRE/browse/latest-publications

 

Production scientifique

 

I - INTEGRATION EUROPEENNE (généralités)

A - Articles de revues  - Chapitres d'ouvrages

  • Ghislaine ALBERTON, Note de jurisprudence concernant un arrêt rendu par le Conseil d'Etat le 22 mai 2013, Affaire « G. Kiss », AJDA 23 septembre 2013 n°31, p. 1815-1819
  • Ghislaine ALBERTON, « Une fonction publique nationale en reconquête d’indépendance ? in Indépendance(s). Mélanges en l’honneur du Professeur Jean-Louis AUTIN, Presses universitaires de la Faculté de Droit de Montpellier, 2012, p. 73-94
  • Ghislaine ALBERTON, Note de jurisprudence concernant deux arrêts rendus par le Conseil d’Etat le 11 mars 2011, Affaires « F. Auble » et « F. Kaeufling », AJDA 30 mai 2011 n°19, p. 1091-1094 
  • Ghislaine ALBERTON, « Recrutement des Européens dans la fonction publique française : le décret du 22 mars 2010 est-il vraiment « accueillant » ? », AJDA 25 octobre 2010, p. 1984
  • Ghislaine ALBERTON, « Nationalité des capitaines de navires français et reconnaissance des diplômes délivrés au niveau européen : nouveaux remous en perspective au sein de l’océan judiciaire ? », Droit Maritime Français, n° 718, octobre 2010, p. 759

  • Alain BERNARD, « Trans Europe Experts, tensions entre éthique (scientifique) et efficacité (politique) ? », chronique, D. 2010, p. 1091

  • Amélie DA FONSECA, "Le principe de subsidiarité et le déficit démocratique de l'Union européenne". Politeia, n°27, juin 2015

  • Lisa DUMOULIN, Contribution biannuelle à la Chronique collective de Droit bancaire, sous la direction du Doyen Stoufflet (Juris-Classeur Périodique « JCP » édition Entreprise), à partir de 2009

  • Kiteri GARCIA, « La définition du consommateur et la qualification des actions contractuelles et non contractuelles », Revue européenne de droit de la consommation 2009, n° 4, p. 617 
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, «  Relaciones internacionales y del Derecho Internacional », in P. Gonález Trevijano y E. Arnaldo Alcubilla (dir.), Comentarios a la Constitución de la República Dominicana, Tomo II, Comentario sistemático, La Ley & Universidad Rey Juan Carlos, 2012, pp. 251-307
  • Henri LABAYLE, « Question préjudicielle et question prioritaire de constitutionnalité : ordonner le dialogue des juges », RFDA 2010
  • Henri LABAYLE, « L’européanisation des procédures nationales », 76° Congrès de la CNA, Côme, 2011
  • Sylvie PEYROU, Cour constitutionnelle allemande et pouvoirs de la Banque Centrale Européenne : le premier renvoi préjudiciel à la Cour de justice (décision du 14 janvier 2014) », RFDC 2014
  • Maiténa POELEMANS, « Les anciens PECO dans l’Union européenne », Revue Est-Europa 2011, p. 179
  • Fabrice RIEM, « Circulation des personnes et assistance sociale : l’article 24, §2, de la directive 2004/38 relative au droit de séjour des citoyens européens est-il conforme à l’article 12 CE lu en combinaison avec l’article 39 CE ? » (CJCE 4 juin 2009, C-22 et 23/08, Vatsouras et Koupatantze), JCP (G) 2010, 135
  • Fabrice RIEM, « La confrontation de l’agriculture et du marché : les aspects contractuels », in La production et la commercialisation des denrées alimentaires et le droit du marché, Rev. Lamy Conc., n° 25, oct.-déc. 2010, p. 115-119 Fabrice RIEM, « Le nouveau droit des pratiques restrictives de concurrence : rupture ou continuité ? » Rev. Lamy Conc., n° 21, oct.-déc. 2009, pp. 31-39
  • Fabrice RIEM, « Urbanisme commercial et droit de la concurrence » (avec M. Malaurie-Vignal), JCP (E) 2011, 1579
  • Fabrice RIEM, « Comment ‘ça’ gouverne ? L’exemple du droit financier » (avec Alain Bernard), Point de vue, Rec. Dalloz 2011, p. 1630
  • Fabrice RIEM, « Les régulations financières » (avec Alain Bernard), in Pluralisme juridique et effectivité du droit économique, dir. L. Boy, J.-B. Racine, J.-J. Sueur, Larcier, 2011, pp. 121-163
  • Fabrice RIEM, « La concurrence dans le secteur des transports maritimes. Le marché entre concentration et complaisance », Revue Internationale de Droit Economique, t. XXVI, n° 1/2012, p. 31 à 56.
  • Fabrice RIEM, « Retour sur l’ordre concurrentiel », in L’école niçoise de droit économique, Revue Internationale de Droit Economique, t. XXVII, n° 4/2013, p. 435 à 450.

B - Ouvrages

  • Jean-Pierre MASSIAS, Faire la Paix au Pays basque, Editions Elkar, collection Histoire, 2011

C - Communications, colloques

  • Kiteri GARCIA, « Parité et RSE », Journée « PME/PMI sur l’égalité professionnelle », Bordeaux, 14 novembre 2013
  • Kiteri GARCIA « Les rapports entre le travail et la famille », Séminaire Comptrasec, Bordeaux, 8 novembre 2012
  • Henri LABAYLE, «  L’identité nationale comme principe d’interprétation des rapports de systèmes » in «L’identité à la croisée des Etats et de l’Europe », Aix Marseille III, 2013 (à paraître)
  • Henri LABAYLE« L’Europe à la carte, aspects juridiques », Eurotémis, Bordeaux, 2013
  • Fabrice RIEM, « La profession d’avocat à l’épreuve du droit de la concurrence de l’Union européenne », in La profession d’avocat : perspectives européennes, Colloque FNUJA, Bayonne, 8-9 octobre 2010.
  • Fabrice RIEM, « La crise et les marchés financiers », in L’Europe en crise – Les crises de l’Europe, Université d’été Bordeaux IV, 15 septembre 2010.
  • Fabrice RIEM, « Les juridictions et les MARC », in Les professionnels du droit et les modes alternatifs de règlement des conflits, colloque Pau, CRAJ-UDA, 9 avril 2010.

 

II - ESPACE DE LIBERTE, SECURITE, JUSTICE

A - Articles de revues - Chapitres d'ouvrages

  • Géraldine BACHOUE. La démocratie par le développement des usages numériques sur le plan local. Politeia, N°27, juin 2015
  • Géraldine BACHOUE. Article 25 du Traité sur l'Union européenne. In : Dubos, Olivier; Platon, Sébastien. La Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne et le Traité sur l'Union européenne commentés. Paris : Editions Pedone, 2015 (à paraître)
  • Géraldine BACHOUE. La accion de la Union Europea en materia de lucha contra la trata de seres humanos. Diario La Ley, 2015, n°8500, p.10-14
  • Géraldine BACHOUE. L'archivage numérique dans la sphère publique, les enjeux d'une législation annoncée. Revue Française d'Administration Publique, 2015, n°151, p.825-537
  • Géraldine BACHOUE. Le chef d'Etat et l'accès au territoire étranger : quelques précisions...Journal de droit international, 2014, n°4, p.99-121
  • Géraldine BACHOUE. Les droits fondamentaux à l'épreuve du terrorisme : le point de vue communautaire. In : Niquège, Sylvain. L'infraction pénale en droit public. Paris : L'Harmattan, 2010, p. 164-185. ISBN 978-2-296-11351-0
  • Pierre BERTHELET. La lutte contre la traite des êtres humains. réflexions critiques autour d'une politique européenne "globale", "cohérente" et "intégrée". Revue du droit de l'Union européenne, 2014, n°4, p.637-662
  • Pierre BERTHELET. Où va la sécurité intérieure européenne ?. Revue de la Gendarmerie nationale, 2014, n°250, p.6-13
  • Pierre BERTHELET. L'appropriation territoriale. Réflexions et analyse. Revue de la Gendarmerie nationale, 2013, n°249, p.31-36
  • Pierre BERTHELET. Front National : réflexes identitaires. Revue politique et parlementaire, 2013, n°1066, p.258-273
  • Pierre BERTHELET. La "gouvernance Schengen", le sentier périlleux de la réforme. Commentaires et analyses sur les travaux en cours. Revue du droit de l'Union européenne, 2012, n°4, p.655-678
  • Pierre BERTHELET. La sécurité intérieure européenne est-elle un invertébré juridique ?. In Mbongo, Pascal; Latour, Xavier (dir.). Sécurité, libertés, légistique : autour du code de la sécurité intérieure. Paris : L'harmattan, 2012. p.37-52
  • Pierre BERTHELET. Union européenne: réflexions sur la sécurité inérieure. Revue de la Défense nationale, 2012, n°261, p.1-5
  • Pierre BERTHELET. La sécurité intérieure de l'UE, un chef d'oeuvre impressioniste ?. Cahiers de la sécurité, 2012, n°21, p.142-149
  • Pierre BERTHELET. La sécurité intérieure européenne, sa stratégie et son architecture : regard imagé sur une construction originale. Revue de la Sécurité globale, 2012, n°19, p.77-90
  • Jocelyne CASTAIGNEDE. La responsabilité pénale du mineur en droit français : l’évolution préoccupante d’un concept » – Hommage au Professeur Antonio Beristain Revue Eguzkilore – n° 23 -2009- p. 279 à 286 (article publié en espagnol)
  • Jocelyne CASTAIGNEDE, « L’évolution de la justice pénale des mineurs : de la modélisation à la réalité » – Cahiers de la Sécurité intérieure n°12 : « A quoi sert la prison ? » avril 2010- p. 86 à 93
  • Jocelyne CASTAIGNEDE, « La justice pénale des mineurs en France » (en collaboration avec N. Pignoux) in Juvenile Justice Systems in Europe, F. Dünkel, J. Grzywa, P. Horsfield, I. Pruin (Eds), Vol. I – Forum Verlag Godesberg, 2011, p. 483
  • Jocelyne CASTAIGNEDE «  La justice pénale des mineurs à la lumière du droit européen » – in Actes du colloque CRDEI – CERFAP « Mineurs et droits européens » - Editions Pédone – Collection Droits européens 2012
  • Laura DELGADO, « L’interdiction de la traite des êtres humains par la Charte des droits fondamentaux, in Trata de los seres humanos e inmigracion ilegal, sous la dir. de I. Riano, M. Richard et M. Poelemans, Aranzadi, Navarra, 2013, p. 371
  • Lisa DUMOULIN, "La coopération en matière de saisie et de confiscation de l'argent de la traite" Cahiers de la sécurité et de la justice, INHESJ, n°29, 3eme trim. 2014, p.48 à 54
  • Lisa DUMOULIN, « L’approche financière du phénomène de traite des êtres humains » in Trata de los seres humanos e inmigracion ilegal, sous la dir. de I. Riano, M. Richard et M. Poelemans, Aranzadi, Navarra, 2013, p. 315
  • Lisa DUMOULIN, « Black-Lists et gel des avoirs : bilan et perspectives du Médiateur du Comité 1267 des Nations unies : » Revue de Science Criminelle et de droit pénal comparé janvier-mars 2013 p. 23 
  • Lisa DUMOULIN, « Droits Fondamentaux et mesures antiterroristes : l’exemple du gel des avoirs des présumés terroristes », in « Droits fondamentaux, Libertés économiques et Ordre public » sous la dir. de F. Collart-Dutilleul et F. Riem, ed. Institut Universitaire Varenne – coll. Colloques et Essais, n°5, 2013, page 89 
  • Lisa DUMOULIN, « La formation des Médiateurs après l’adoption de la Directive 2008/52/CE – perspective française » in « La Mediación en Asuntos Civiles y Mercantiles. La transposición de la Directiva 2008/52 en Francia y en España », ed. La Ley, 2013, page 479
  • Kiteri GARCIA, « Le Règlement n° 1259/2010 du 20 décembre 2010 mettant en œuvre une coopération renforcée dans le domaine de la loi applicable au divorce et à la séparation de corps », Journée d’études Franco-espagnole, Pau, 2014 (à paraître) 
  • Henri LABAYLE, « Le Bureau européen d'appui à l’asile : premiers commentaires sur la proposition d'un règlement communautaire », ProAsile, 2009 p.9
  • Henri LABAYLE, "Le traité de Lisbonne et l'entraide répressive dans l'Union européenne", RAE 2009 p. 209
  • Henri LABAYLE, "Le contrôle juridictionnel de la lutte contre le terrorisme : les "blacks lists" de l'Union dans le prétoire de la Cour de justice" en coll. avec R. Mehdi, RTDE 2009
  • Henri LABAYLE, " Quelles perspectives pour un ministère public européen ?" Dalloz, 2010
  • Henri LABAYLE, « Droit au procès équitable et lutte contre le terrorisme », IDEDH, Le droit au procès équitable, Bruylant, 2011
  • Henri LABAYLE, « Les droits du migrant dans l’Union européenne : amoindrissement ou renforcement ? » in CERIC, La société internationale face aux défis migratoires, Bruylant, 2011
  • Henri LABAYLE, « La compétence externe de la Communauté en matière migratoire », in External Dimensions of European Migration and Asylum Law and Policy, Bruylant, 2011
  • Henri LABAYLE, « Le droit européen de l’asile devant ses juges », RFDA 2011
  • Henri LABAYLE, « La loi relative à l’immigration, l’intégration et la nationalité du 16 juin 2011 réformant le droit des étrangers : le fruit de l’arbre empoisonné », RFDA 2011
  • Henri LABAYLE,« L’impact de la jurisprudence de la CEJ et de la CEDH sur l’asile et l’immigration », en collaboration avec P. de Bruycker, Etudes du Parlement européen, Bruxelles, 2012
  • Henri LABAYLE, « EU counter-terrorism offense : what impact on national legislation and case-law ? French report », in Eclan, EU Counter-terrorism offences: What impact on national legislation and case-law ? Editions de l’Université de Bruxelles, Bruxelles, 2012
  • Henri LABAYLE,«  Espace de liberté, sécurité, justice », fasc. 2625, J-Cl Europe, 2012
  • Henri LABAYLE, « La suppression des contrôles aux frontières intérieures de l’Union européenne », in Les frontières de l’Union, Bruylant, 2012
  • Henri LABAYLE, « Vingt ans : l’âge de raison pour un Espace de liberté », Revue des Affaires européennes, 2012 p. 99
  • Henri LABAYLE, «  Within you, without you : l’opt-out britannique en matière répressive », Europe 2013, n° 2 p.2
  • Henri LABAYLE, « Judiciarisation et droits fondamentaux dans l’espace pénal européen », Critical Quaterly for legislation and law », 2012 n° 4 p. 352
  • Henri LABAYLE, « L’Union européenne et la lutte contre la traite des êtres humains : la prise de conscience ? », Estudios sobre la lucha contra la trata de seres humanos, Aranzadi Reuters 2012 p. 285
  • Henri LABAYLE, « Le Conseil constitutionnel, le mandat d’arrêt européen et le renvoi préjudiciel à la Cour de justice », en coll. avec R. Mehdi, RFDA 2013 n° 3
  • Henri LABAYLE, « Le droit au juge et le mandat d’arrêt européen : lectures convergentes de la Cour de justice et du Conseil constitutionnel », en coll. avec R. Mehdi, RFDA 2013 n° 4
  • Henri LABAYLE, « Refonder l’Espace de liberté sécurité et justice à la lumière de l’arrêt Van Gend en Loos ? », in CJUE, Cinquantième anniversaire de l’arrêt Van Gend en Loos, Luxembourg, 2013
  • Henri LABAYLE, « La confiance mutuelle dans l’Espace de liberté, sécurité et justice », Mélanges Hailbronner, Muller, Heidelberg, 2013 p. 153
  • Henri LABAYLE, « Toward the negociation and adoption of the Stockholm Programme, successor for the period 2015-2020 », en collaboration avec P. de Bruycker, Bruxelles, 2013
  • Henri LABAYLE, " Reconnaissance mutuelle et entraide" in Fondements et objectifs des incriminations en droit pénal européen et international, Anthémis, Bruxelles 2014 p. 445
  • Henri LABAYLE, "Espace de liberté, sécurité et justice - Cadre historique", fasc-2620 J-Cl. Europe 2014 (à paraître)
  • Henri LABAYLE, The institutionnal framework » in Research Handbook on EU Criminal Law, Edward Elgar, London (à paraître)
  • Henri LABAYLE, “Game of zone ? La lisbonnisation de l’Espace de liberté, sécurité et justice en questions”, Mélanges en l’honneur du Professeur Blumann (2015)
  • Henri LABAYLE. Droit d'asile et confiance mutuelle : regard critique sur la jurisprudence européenne. Cahiers de droit européen, 2014, n°3, p.501-534
  • Michèle MESTROT, « La volonté des parties à la médiation (analyse comparée) », in La Mediación en Asuntos Civiles y Mercantiles. La transposición de la Directiva 2008/52 en Francia y en España », ed. La Ley, 2013
  • Joanna PETIN, Exploring the role of vulnerability in immigration detention. In Refugee Survey Quaterly, Vol. 35, n°1, Mars 2016, pp.91-108.
  • Joanna PETIN. Alternatives to immigration and asylum detention in the EU : time for implementation [rapport de synthèse, sous la direction de Ph. de Bruycker], février 2015
  • Joanna PETIN. Asile. In : Mbongo, Pascal; Hervouët, François; Santulli, Carlo. Dictionnaire encyclopédique de l'Etat. Paris : Berger-Levrault, 2015
  • Joanna PETIN. The EU action against trafficking in human beings. In : Hofmeister, Wilhelm; Rueppel, Patrick. Trafficking in human beings : learning from asian and european experiences. Singapore : Konrad-Adenaeur Stiftung, 2014
  • Joanna PETIN, «  La refonte du Paquet Asile », in Université de Poitiers, «  Vulnérabilité des étrangers et droits fondamentaux », 2014
  • Joanna PETIN, « Les victimes de traite des êtres humains face à la protection internationale,in Trata de los seres humanos e inmigracion ilegal”, sous la dir. de I. Riano, M. Richard et M. Poelemans, Aranzadi, Navarra, 2013, p. 399
  • Sylvie PEYROU, « L’affaire Marper c/ Royaume-Uni, un arrêt fondateur pour la protection des données dans l’espace de liberté, sécurité et justice de l’Union européenne », RFDA juillet-août 2009, pp. 741-752
  • Sylvie PEYROU, « La protection des droits fondamentaux, au cœur des nouvelles priorités de l’ELSJ : l’exemple de la protection des données à caractère personnel », Curentul Juridic, Anul XIII, NR. 2 (41), 2010, Editura Universitatii « Petru Maior », Tirgu-Mures, Romania, pp. 66-81.
  • Sylvie PEYROU, « La protection des données à caractère personnel dans l’ELSJ, work in progress… » RTDE Juillet-septembre 2010, n°3, pp.775-790
  • Sylvie PEYROU, « Droits fondamentaux versus diplomatie, ou le pot de terre contre le pot de fer : réflexions sur la conclusion de l’accord PNR entre les Etats-Unis et l’Union européenne », EUROPE n° 7 juillet 2012, étude n° 8.
  • Sylvie PEYROU, « Un nouveau cadre juridique général pour la protection des données au sein de l’U.E. : une réforme législative ambitieuse », Revue des Affaires Européennes 2012/1, pp.149-162
  • Sylvie PEYROU, « Quelques réflexions sur la protection des données dans l’ELSJ, ou chronique d’un espoir déçu », in « El espacio de libertad, seguridad y justicia ; Schengen y proteccion de datos », Aranzadi, 2013, p. 147
  • Sylvie PEYROU, « Le chantier législatif européen en matière de protection des données : l’apparente priorité accordée à la Directive PNR est-elle opportune ? », Revue des Affaires Européennes 2012/2, pp. 403-413
  • Sylvie PEYROU, « De l’accord PNR à Prism, bilan et perspectives sur les malentendus transatlantiques : lutte antiterroriste versus protection des données personnelles », in 12ème université européenne d’été, Montesquieu Bordeaux IV – UPPA – Université Laval, Québec, Pédone 2014 (à paraître)
  • Sylvie PEYROU, « Lutte contre le terrorisme et protection des données à caractère personnel : l’exemple des programmes PNR », Mélanges en l’honneur du Professeur Pierre Bon, Dalloz (à paraître)
  • Sylvie PEYROU, « Cloud computing et protection des données dans l’UE : dissiper le brouillard du doute pour que le ciel européen ne soit pas sans nuage… », Revue des Affaires Européennes, 2014 (à paraître)
  • Sylvie PEYROU, « La protection des données à caractère personnel : illustration d’une divergence entre marché intérieur et ELSJ », in F. RIEM (ed.) « Espace de liberté, de sécurité et de justice – Marché intérieur : quel dialogue ? », 2014 (à paraître).
  • Sylvie PEYROU, « La protection modulée des données à caractère personnel », in IDEDH – CEDECE, « La protection des droits fondamentaux dans l’Union européenne. Entre évolution et permanence ». (à paraître)
  • Sylvie PEYROU, « La Cour de justice, garante du droit « constitutionnel » à la protection des données à caractère personnel, CJUE 8 avril 2014, Digital Rights Ireland, aff. jointes C-293/12, C-594/12, (à paraître).
  • Sylvie PEYROU, "Transparence et protection des données à caractère personnel". Politeia, n°27, juin 2015
  • Maiténa POELEMANS, « La transposition en France de la décision-cadre 2002/629/JAI du 19 juillet 2002 sur la traite des êtres humains », in The evaluation of European criminal law, sous la dir de A. Weyembergh et V Santamaria, Editions de l’Université de Bruxelles, 2009 p.85
  • Maiténa POELEMANS, "L'Europe de la sécurité et de la justice" (en coll. avec Y. Pascouau) in Manuel Questions européenne (sous la dir. de T. Jouno), P.U.F., Paris, 2009
  • Maiténa POELEMANS, « Bilan et perspectives du principe de reconnaissance mutuelle en matière pénale en France », in « The future of mutual recognition in criminal matters in the European Union/L’avenir de la reconnaissance mutuelle en matière pénale dans l’Union européenne », sous la dir. de L. Surano, A. Weyembergh et G. Vernimen, Editions de l’Université de Bruxelles, 2009
  • Maiténa POELEMANS, « El derecho de los extranjeros en Francia en el marco del movimiento de penalizacion de los derechos », in JF Lopez Aguilar y J. Rodriguez-Drincourt (coord.), Perspectivas y fronteras de los derechos de los extranjeros, Editorial Civitas, Navarra, 2011, p. 281
  • Maiténa POELEMANS, «La réponse de l’Union européenne à la traite des êtres humains», avec J. Petin, in Prostitution nigériane, sous la dir. de B. Legendre-Lavaud, Karthala, Paris, 2013 p.123
  • Fabrice RIEM, « Le projet de grand marché transatlantique, entre logique de marché et ELSJ », inEspace de liberté, de sécurité et de justice – Marché intérieur : quel dialogue ?, (à paraître)
  • CDRE, Chronique Espace de liberté, sécurité et justice (sous la resp. de H Labayle) de l’Annuaire de Droit Européen (ADE), Bruylant, Larcier, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013 (à paraître)

B - Ouvrages

  • Géraldine BACHOUE. Le contrôle juridictionnel de la coopération intergouvernementale dans l'Union européenne : contribution au processus de juridictionnalisation de l'Union. Paris : LGDJ, 2013. Colloques et Essais. ISBN 978-2-37032-006-3
  • Pierre BERTHELET. Chaos International et sécurité globale. La sécurité en débats. Paris : Editions Publibook Université (EPU), 2014. coll. Recherche. ISBN : 9782342027921
  • Henri LABAYLE, M. POELEMANS, Code de droit pénal de l’Union européenne, en collaboration avec A. Weyembergh, Bruylant, 2ème éd. 2013
  • CDRE, La Mediación en Asuntos Civiles y Mercantiles. La transposición de la Directiva 2008/52 en Francia y en España, ed. La Ley, 2013

C - Communications, colloques

  • Géraldine BACHOUE. La coopération répressive dans l'espace Schengen. In : Universidad del Pais Vasco. IIIeme Journée d'études. L'Europe et ses frontières : les 30 ans de l'espace Schengen, 16 janvier 2015, San Sebastian.
  • Géraldine BACHOUE. Démocratie locale et numérique. In : Université de Bordeaux/UPPA. Quelle démocratie européenne ? (Universités d'été), 15-19 septembre 2014, Faculté de Bayonne.
  • Géraldine BACHOUE. Incrimination et coopération. In : UPPA/Comptrasec-Bordeaux IV/Université du Pays Basque/Université de Navarre. La coopération entre les acteurs luttant contre la traite des êtres humains : illustration à partir du cas France-Espagne, 27-28 mars 2014, Faculté de Bayonne
  • Géraldine BACHOUE. Droits fondamentaux, terrorisme et Union européenne.  In : UPPA. Journée d'étude relative à l'infraction pénale en droit public, 30 avril 2009, Faculté de Bayonne
  • Géraldine BACHOUE. Le juge et l'ELSJ. In : Université Robert Schuman. L'Europe de la sécurité intérieure (Académie d'été), 24 juin 2008, Université de Strasbourg
  • Pierre BERTHELET. La traite des êtres humains et l'entraide policière. In : UPPA/Comptrasec-Bordeaux IV/Université du Pays Basque/Université de Navarre. La coopération entre les acteurs luttant contre la traite des êtres humains : illustration à partir du cas France-Espagne, 27-28 mars 2014, Faculté de Bayonne.
  • Pierre BERTHELET. Sécurité intérieure et civile : l'agenda juridique européen. In : Faculté de droit de Poitiers. Sécurité, Libertés, Légistique : autour du code de la sécurité intérieure, 15 mai 2012, Faculté de Poitiers.
  • Adrienne BONNET, "Réflexions sur la transdisciplinarité du droit de la concurrence et de l'économie : vers un règlement amiable du litige ?", Séminaire organisé par l'Ecole doctorale SHS, intitulé "Crises, sciences et sociétés : un dialogue impossible ?", 13 mars 2015, UPPA.
  • Jocelyne CASTAIGNEDE, « La parole du mineur victime dans le procès pénal : présentation du dispositif législatif », Actes du colloque, La parole du mineur victime dans le procès pénal, UJP-CRAJ du 21 février 2013, Pau (à paraître)
  • Aurélie GARBAY, « The fight against violent extremism and radicalization leading to terrorism: tackling “the roots of the roots of insecurity” », 8ème conférence générale du European Consortium for Political Research, Université de Glasgow, 3-6 septembre 2014.
  • Aurélie GARBAY, « Conflit basque et altérations de l’Etat de Droit », Colloque « Conflict and societies : weapons and words », Université de Montréal, 26-29 mars 2014.
  • Aurélie GARBAY, « The fight against terrorist radicalisation : a European challenge to be handled with care », ECLAN PhD seminar, Université de Pau et des Pays de l’Adour, 30 mai 2012.
  • Kiteri GARCIA, « Un seul droit de la famille en Europe : utopie ou réalité ? », Limoges, 29 avril 2010
  • Henri LABAYLE, « Quelles perspectives pour le ministère public européen ? », Cour de cassation, 2010, publié
  • Henri LABAYLE, « Droit au procès équitable et lutte contre le terrorisme », IDEDH, Montpellier, novembre 2010, publié
  • Henri LABAYLE, « Les droits du migrant dans l’Union européenne : amoindrissement ou renforcement ? » in CERIC, La société internationale face aux défis migratoires, Aix en Provence, 2011, publié
  • Henri LABAYLE, « Judiciarisation et droits fondamentaux dans l’espace pénal européen », 6° Congrès des juristes européens, Luxembourg, 2011, publié
  • Henri LABAYLE, « EU counter-terrorism offense : what impact on national legislation and case-law ? French report », Eclan, Bruxelles, 2011, publié
  • Henri LABAYLE « Quelle judiciarisation pour l’Espace judiciaire européen ? », Conférence inaugurale de l’Ecole doctorale des Juristes de la Méditerranée, Institut européen de l’Université de Barcelone, octobre 2011
  • Henri LABAYLE « Perspectives de l’Espace de liberté, sécurité, justice de l’Union européenne », Université Juan Carlos III, Madrid, 2011
  • Henri LABAYLE, « Le programme de Stockholm à mi-parcours : le volet répressif », Fondazione Basso, Rome, 2013
  • Henri LABAYLE, « Refonder l’Espace de liberté sécurité et justice à la lumière de l’arrêt Van Gend en Loos ? », Cour de justice de l’Union, Cinquantième anniversaire de l’arrêt Van Gend en Loos, Luxembourg, 2013
  • Henri LABAYLE, « Les lignes directrices du Conseil européen en matière d’asile et d’immigration », Odysseus, Bruxelles, 2014
  • Henri LABAYLE, "Reconnaissance mutuelle et entraide" in Fondements et objectifs des incriminations en droit pénal européen et international, Bruxelles, 2014
  • Joanna PETIN, « Irregular Migration and Smuggling of Migrants », in Fondation Konrad Adenauer et European Policy Center Intervention, Addressing irregular migration and human trafficking in Europe and Asia, Phnom Penh (Cambodge), 6 mars 2014
  • Joanna PETIN, « The recast directives : presentation of new obligations and involved issues », in PROTECT-ABLE, “The new EU asylum package and the identification of vulnerable asylum seekers », Parlement européen, Bruxelles, le 20 mars 2014
  • Joanna PETIN. Refonte du paquet asile. In : Université de Poitiers. Vulnérabilité des étrangers et droits fondamentaux, 8 novembre 2013, Université de Poitiers
  • Joanna PETIN, « Etat des lieux européen des politiques et pratiques en matière de regroupement familial », in France Terre d’Asile, “ L’harmonisation des pratiques européennes en matière de regroupement familial”, Paris, 26 avril 2013
  • Sylvie PEYROU, « De l’accord PNR à Prism, bilan et perspectives sur les malentendus transatlantiques : lutte antiterroriste versus protection des données personnelles », 12ème université européenne d’été, Montesquieu Bordeaux IV – UPPA – Université Laval, Québec, 9-13 septembre 2013, Paris : Editions Pedone, 2014
  • Sylvie PEYROU, « La protection des données à caractère personnel : illustration d’une divergence entre marché intérieur et ELSJ », in F. RIEM (ed.) « Espace de liberté, de sécurité et de justice – Marché intérieur : quel dialogue ? », 2014 (à paraître).
  • Sylvie PEYROU, « La protection modulée des données à caractère personnel », in IDEDH – CEDECE, « La protection des droits fondamentaux dans l’Union européenne. Entre évolution et permanence ». (à paraître)
  • Maiténa POELEMANS, « La lucha contra los fenómenos de trata y de tráfico de personas en la Unión europea », IVAC (Université du Pays Basque), septembre 2013
  • Fabrice RIEM, « Le projet de grand marché transatlantique, entre logique de marché et ELSJ », in Espace de liberté, de sécurité et de justice – Marché intérieur : quel dialogue ? (à paraître)

 

III - DROITS FONDAMENTAUX

A - Articles de revues - Chapitres d'ouvrages

  • Alain BERNARD, « Le marché autorégulé, « une idée folle » ? chronique, D. 2009, page 2289 et s.
  • Alain BERNARD, « Le marché de la dette souveraine – La régulation de l’information sur le marché des dettes souveraines ou la religion de la valeur, » paru dans : Mathias Audit, Insolvabilité des Etats et dettes souveraines, Paris, LGDJ, 2011, p. 177 et s. 
  • Alain BERNARD, « Pluralisme juridique et effectivité du droit économique », avec Fabrice RIEM, Les régulations financières, ouvrage sous la direction de L. BOY, J.-B. Racine, J.-J. Sueur, Bruxelles, Larcier, 2011, p. 121 et s
  • Alain BERNARD, « La guerre des farines », in F. Collart-Dutilleul et F. Riem, Droits fondamentaux, ordre public et libertés économiques, Paris, LGDJ, 2013, 153 
  • Magalie BESSE, « L’écriture multilatérale des Constitutions, facteur de réussite des transitions démocratiques », Les Nouveaux Cahiers du Conseil constitutionnel, n°45, octobre 2014. (Prix Favoreu - IXème Congrès de l’AFDC, Lyon, juin 2014).
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “Victimarios vascos y su ilegalización por el Tribunal Europeo de Derechos Humanos: la victoria de la democracia”, Eguzkilore, Cuaderno del Instituto Vasco de Criminología, Nº 23-2009, pp. 31-43
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “Las víctimas y el Derecho Internacional”, Anuario Español de Derecho Internacional, 2009, pp. 3-66
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “International Law of Victims”, Max Planck Yearbook of United Nations Law, Volume 14, 2010, pp. 219-272.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “La protección de los derechos humanos y la prohibición de la tortura en Europa y América. Un análisis comparado”, dans l’ouvrage collectif coord. Par A. von Bogdandy, F.Piovesan et M.Morales Antoniazi, Direitos Humanos, Democracia e Integrçao Jurídica na América do Sul, Lumen Juris Editora,Rio de Janeiro 2010, pp. 245-264.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “La ejecución de sentencias y decisiones de Tribunales y Comités”, dans l’ouvrage collectif de C. Escobar Hernández (dir.), A. Pastor Palomar (coord.), Los derechos humanos en la sociedad internacional del siglo XXI, vol. 2, Colección Escuela Diplomática, nº 16, 2010, ISSN: 1576-2432, pp. 179-198.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “The International Statute of Victims of Terrorism”, dans l’ouvrage collectif Victims in Europe, Victim Support Europe, Lisboa, 2010.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “La justicia constitucional y la defensa de la democracia en la lucha contra el terrorismo: la ilegalización de partidos políticos en España”, dans l’ouvrage collectif coord., par VON BOGDANDY, A., FERRER MAC-GREGOR, E., y ANTONIAZZI, M.M., La Justicia Constitucional y su internacionalización. ¿Hacia un Ius Constitutionale Commune en América Latina?, Universidad Nacional Autónoma de México, Max Planck Institut für ausländisches öffentliches Recht und Völkerrecht, Instituto Iberoamericano de Derecho Constitucional, México, 2010, Tomo I, pp. 731-763.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “El Comisario de Derechos Humanos”, dans l’ouvrage collectif dirigée par FERNÁNDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, C., España y los órganos internacionales de control en materia de derechos humanos, (Director), Dilex, Madrid, 2010, pp. 481-524.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI “La práctica española relativa a los órganos internacionales de control de los derechos humanos: un estudio introductorio”, dans l’ouvrage collectif dirigée par FERNÁNDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, C., España y los órganos internacionales de control en materia de derechos humanos, (Director), Dilex, Madrid, 2010, pp. 17-47
  • Kiteri GARCIA, « CEDH et Code de commerce, sources complémentaires ou concurrentes ? », Dr. et patrimoine, juillet-aout 2010, p. 54 Kiteri GARCIA, « De Roxanne à Maria, Rock et droit des femmes », dans Droit et rock, W. Mastor, J.-P. Marguénaud et F. Marchadier (dir.), Dalloz, 2011, p. 181
  • Kiteri GARCIA, « CEDH, QPC et droit des affaires », Les Petites Affiches, 29 septembre 2011, n° 194, p. 11
  • Kiteri GARCIA, « Le droit à l’alimentation et la CEDH », dans De la terre aux aliments, des valeurs au droit, F. Collart-Dutilleul (Dir),Broché, 2012
  • Kiteri GARCIA, « Les droits fondamentaux des personnes morales », in Fabrice Riem (dir.) Droits fondamentaux, ordre public, libertés économiques, 2012, Institut Universitaire Varenne
  • Kiteri GARCIA, Chronique Droit de la Famille – Filiation et CEDH, (en collaboration) Dalloz 2012, 2013
  • Kiteri GARCIA « Un arrêt pilote sur le droit à l'information des parents d'enfant disparu », note sous Cour EDH 26 mars 2013, Zorica Jovanović c/ Serbie, Dr. fam. juin 2013, comm 88.
  • Kiteri GARCIA « Le rayonnement des droits de l’homme et des droits fondamentaux en droit privé », RIDC 2014, p. 284 à 292 et 298 à 336
  • Kiteri GARCIA - « Leçons sur les droits de l’Homme », dans N. Dissaux et F. Terré (dir.), Anatole France, Leçons de droit, Mare et Martin, à paraître, 2014
  • Kiteri Garcia « Le rayonnement des droits de l’homme et des droits fondamentaux en droit privé », RIDC 2014, p. 284 à 292 et 298 à 336
  • H. LABAYLE, « Les documents classifiés à la lumière du traité de Lisbonne », Etude pour le Parlement européen, Bruxelles, 2010 ;
  • H. LABAYLE, « Le droit au regroupement familial », Rapport français et rapport de synthèse, en collaboration avec le Réseau Odysseus, Etude pour le compte de la Fondation du Roi Baudouin, Bruxelles 2011
  • H. LABAYLE, « Openness, transparency and access to documents and information in the EU », Etude pour le Parlement européen, Bruxelles, 2013
  • H. LABAYLE, « De la buée sur les vitres : les enjeux d’une réforme de l’accès aux documents dans l’Union européenne », Mélanges Pierre Bon, Dalloz, 2014
  • H. LABAYLE, Chronique annuelle Droit administratif et droit de la CEDH, en collaboration avec F. Sudre, RFDA 2009, 2010, 2011, 2012, 2013 (à paraître)
  • Sylvie PEYROU, « Identification et répression de l’esclavage domestique en France : peut mieux faire… », Curentul Juridic, 2011, NR.1(44),Tirgu-Mures, Romania, pp. 61-76.
  • Sylvie PEYROU, « La liberté de conscience et de religion en Russie : une question parasitée par la définition d’une nouvelle identité nationale dans la Russie post-communiste ». « Est-Europa » N°1, 2011
  • Sylvie PEYROU, Chronique La Russie et la CEDH 2002-2009, « Est-Europa » N°1, 2011.
  • Sylvie PEYROU, Chronique P.E.C.O. – Balkans et CEDH 2008-2010, Est-Europa, N°2, 2011, pp. 115-177
  • Sylvie PEYROU, Chronique jurisprudentielle Russie-CEDH 2010,  Est-Europa, N°1, 2012
  • Fabrice RIEM, « Le contentieux de la concurrence », in L’utilisation de la CEDH dans la pratique des affaires, Dr. et Patrimoine, n° 194, juillet-août 2010, p. 85-93
  • Fabrice RIEM, « Vers un ordre privé organisationnel du travail ? » in Déséquilibres économiques et droit économique, Colloque Nice, 7-8 février 2013 (dir. L. Boy), éd. Larcier, 2014
  • Fabrice RIEM, « Droits fondamentaux, ordre public et libertés économiques. Introduction » in Droits fondamentaux, ordre public et libertés économiques (dir. F. Collart Dutilleul et F. Riem), LGDJ, Fondation Varennes, collection « colloques et essais », 2013
  • Fabrice RIEM, « Les droits sociaux fondamentaux dans le ‘contrat social’ européen », in Droits fondamentaux, ordre public et libertés économiques (F. Collart Dutilleul et F. Riem), LGDJ, Fondation Varennes, collection « colloques et essais », 2013
  • Fabrice RIEM, Participation au Dictionnaire « Lascaux » de droit agroalimentaire, dir. F. Collart Dutilleul (à paraître 2013)
  • Eneritz ZABALETA, « Diversité culturelle cinématographique et langues régionales : l’exemple de la langue basque », in D. Connil, J. Duvignau (Dir.), Le droit public et le cinéma, 2012, L’Harmattan, Paris p. 127-152.
  • Eneritz ZABALETA, « La politique publique en faveur de la langue basque en France : entre verrou juridique et promotion de la diversité linguistique », in G. Agresti (Dir.)  Plurilinguisme et monde du travail, Professions, opérateurs et acteurs de la diversité linguistique  – Atti delle quinte Giornate dei Diritti Linguistici  – Teramo-Giulianova  – 19-21 maggio 2011, 2013, Aracne, Rome p.115-139.
  • Eneritz ZABALETA, « La France entame la procédure de ratification de la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires », Llengua i Dret [blog], 2014, Barcelone, 
  • Eneritz ZABALETA, « Les contradictions du pluralisme linguistique en France », in M. Doucet et M. Bastarrache (Dir.), Le pluralisme linguistique, l’aménagement de la coexistence linguistique dans l’espace francophone – Actes du colloque international du Forum mondial de la langue français – Québec – 3-5 juillet 2012, 2014, Yvon Blais, Cowansville, p. 131-168.
  • Eneritz ZABALETA, « Les contradictions du pluralisme linguistique en France », in J.F. Simard et A.E. Ouedraogo (Dir.), Une francophonie en quête de sens – retour sur le premier Forum mondial de la langue française - 2014, Presses de l’université de Laval, Québec, p. 166-201.
  • Eneritz ZABALETA, « El euskara en Lapurdi, Behe Nafarroa y Zuberoa: claves sociolingüisticas y jurídicas », in El euskera en las altas instituciones de Gobierno a través la historia, Pamiela, Pamplona, 2015.

B - Ouvrages

  • Magalie BESSE, Marie GARCIA, Ludivine SANCHEZ-PEREZ, Délits de presse et Démocratie, « Colloques & Essais », Fondation Varenne et LGDJ, 2012, 832 pages.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, La inclusión del terrorismo entre los crímenes internacionales previstos en el Estatuto de la Corte Penal Internacional, C. Fernández de Casadevante Romani, C., Bou Franch, V.,MINIM, Valencia, 2009
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI España y los órganos internacionales de control en materia de derechos humanos, (Directeur), Dilex, Madrid, 2010.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI Derecho Internacional de los Derechos Humanos, (Directeur),ed. Dilex, 4eme. ed., Madrid, 2011
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI Código de normas internacionales relativas a las víctimas, Fernández de Casadevante Romani, C., Mayordomo Rodrigo, V., Tecnos, Madrid, 2011
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI International Law of Victims, Springer Verlag, Berlin, Heidelberg, New York, 2012.
  • Fabrice RIEM, Droits fondamentaux, ordre public, libertés économiques, en collaboration avec F. Collart-Dutilleuil, Institut Universitaire Varenne, coll. Colloques et Essais, n°5, 2013

C - Communications, colloques

  • Alain BERNARD, « Le marché de la dette souveraine – La régulation de l’information sur le marché des dettes souveraines ou la religion de la valeur », in Colloque international Insolvabilité des Etats et dettes souveraines, Palais du Luxembourg, Paris, 10 novembre 2010, publié Mathias Audit (dir.), LGDJ, Paris, 2011 ;
  • Alain BERNARD, « Les régulations financières » (en collaboration avec Fabrice RIEM), Colloque de Nice, Pluralisme juridique et effectivité du droit économique, sous la direction de L. BOY, J.-B. Racine, J.-J. Sueur, Bruxelles, Larcier, 2011, p. 121 et s. ;
  • Alain BERNARD, « Le libéralisme et les déchets de l’Occident » in Colloque Lascaux F. Collart Dutilleul (dir.), Penser une démocratie alimentaire, Nantes 2013
  • Magalie BESSE, « La Justice transitionnelle au Rwanda : réussites et limites », colloque « Transitional Justice », Université de Birzeit, 4 avril 2014.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “La recepción del Derecho Internacional de los Derechos Humanos en el Derecho Español”, Escola sobre Dereitos Humanos e Cooperación, Universidad de Santiago de Compostela, 7-9 de julio de 2009.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “Terrorismo y Derecho Internacional”, V Jornadas de Seguridad y Defensa, Valencia, 15-17 de julio de 2009.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI,“Carta de derechos de las víctimas del terrorismo”, Encuentro de Colectivos de Víctimas del Terrorismo, Fundación de Víctimas del Terrorismo, Madrid, 23 de febrero de 2011.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, « Las víctimas del terrorismo y los derechos humanos », Human Rights and Victims of Terrorism, Conseil des droits de l’homme, ONU, Genève, 9 de marzo de 2011.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “La protección internacional de la persona”, Universidad de La Rioja, Logroño, 31 de marzo de 2011.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, « La enseñanza del Derecho Internacional Público a través de la jurisprudencia internacional. Una aplicación del método de casos », Facultad de Derecho de la Universidad Nacional Autónoma de México (UNAM), 21 de septiembre de 2011.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, « Taller de Derechos Humanos », Facultad de Derecho de la Universidad Nacional Autónoma de México (UNAM), 22 de septiembre de 2011.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “Impacto de la normativa internacional en materia de víctimas de delitos graves, especialmente de terrorismo y de abuso de poder”, Hacia una Justicia Victimal, encuentro Internacional en homenaje al Prof. Dr. Dr. h.c. Antonio Beristain, San Sebastián, 3-4 noviembre 2011,
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “Los derechos fundamentales en la Unión Europea”, Seminario: Derechos Fundamentales en la Unión Europea, Centro de Excelencia Jean Monnet “Espacio de Libertad, Seguridad y Justicia”, URJC, 28 de febrero-1 de marzo de 2012.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, "La protección internacional del ser humano en el trabajo universitario", Jornadas: El jurista como actor en la protección internacional del ser humano, Facultad de Derecho, Universidad Complutense, Madrid, 7 de marzo de 2012.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “La obligación de investigación efectiva”, La primacía del Derecho Internacional de los Derechos Humanos: su aplicación en España, Mesa redonda, Facultad de Ciencias Jurídicas y Sociales, URJC, 29 de mayo de 2012.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “Los derechos humanos en situación de conflicto: una protección imposible?, X Jornadas sobre la reforma de las Naciones Unidas, Facultad de Derecho y Economía, 22-24 de octubre de 2012, Lérida.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “Cooperación policial en relación con delitos de terrorismo”, Congreso “Actualización de las Políticas del Espacio de Libertad, Seguridad y Justicia (2012)”, Facultad de Ciencias Jurídicas y Sociales, URJC, 27 de noviembre de 2012.
  • Aurélie GARBAY et Eneritz ZABALETA, « La justice transitionnelle, élément clef d’une transition démocratique réussie – Le cas espagnol », colloque « Transitional Justice », Université de Birzeit, 4 avril 2014.
  • Kiteri GARCIA, « Les droits fondamentaux reconnus aux entreprises », colloque Droits fondamentaux et personnes morales, Strasbourg, 14 et 15 octobre 2010
  • Kiteri GARCIA « La communication des informations relatives à la vie privée », journées d’étude Les techniques ou technologies nouvelles et les droits ou principes fondamentaux, Limoges, 2010
  • Henri LABAYLE, « Conclusions générales » in CEDECE-IDEDH, La protection des droits fondamentaux dans l’Union européenne, entre évolution et permanence, Montpellier 2014 (à paraître)
  • Jean-Pierre MASSIAS, «  L’article 75-1 de la constitution Française et le droit des langues régionales », Colloque international « Nation et minorités dans les systèmes juridiques et constitutionnels (France, Hongrie, Canada) », Budapest (février 2012), Institut Français de Budapest.
  • Jean-Pierre MASSIAS « Les présidences en Europe de l'Est », in Journée d’études «  La désignation du Chef de l’Etat : regards croisés dans le temps et dans l’espace », l’Association Française de Droit Constitutionnel (AFDC), l’Institut du droit public et de la science politique (IDPSP) et le Centre d’histoire du droit (CHD) de l’Université Rennes 1, Rennes 31 mai 2012
  • Jean-Pierre MASSIAS « La doctrine Brejnev », in Journées d’études « Après la Lybie, l’ingérence » organisées par Dogma. (Institut pour l'étude des disciplines dogmatiques et l'histoire générale des formes (Pr Rials et Alland) avec la collaboration scientifique du Centre Thucydide (Pr Sur) et de l'Institut Cujas. Fédération pour la recherche en droit public et en science politique de l'Université (Pr Bienvenu), Droits 2012.
  • Jean-Pierre MASSIAS « La rédaction des constitutions et la Paix » in Colloque international « Transitions constitutionnelles et constitutions « transitionnelles » : quelles solutions pour une meilleure gestion des fins de conflit ? organisé par l’Institut Louis Favoreu le 29 juin 2012 à Aix-en-Provence.
  • Jean-Pierre MASSIAS, « Les principes de la Justice transitionnelle : analyse critique », colloque « Transitional Justice », Université de Birzeit, 4 avril 2014.
  • Maiténa POELEMANS, « Nation et Minorités en France : Peut-on parler de minorités en relation avec le droit constitutionnel français ?» in Colloque international « Nation et minorités dans les systèmes juridiques et constitutionnels (France, Hongrie, Canada) », Budapest (février 2012), Institut Français de Budapest.
  • Fabrice RIEM, « Sécurité alimentaire et commerce international : nourrir la planète par le marché ou sauver le “pacte colonial“ ? », in F. Collart Dutilleul (dir.), Penser une démocratie alimentaire, Nantes, Inida 2013.
  • Fabrice RIEM, « Vers un ordre privé organisationnel du travail ? » in Déséquilibres économiques et droit économique, Nice, février 2013 (dir. L. Boy), éd. Larcier, 2014
  • Eneritz ZABALETA, « The legal status of Basque language in France », Colloque : Protecting identity and diversity: language and cultural rights, University of California Santa Barbara, 23-24 février 2012.
  • Eneritz ZABALETA, « Les langues régionales à la croisée des chemins – du patrimoine de la France aux droits de l’Homme ? », Table ronde avec le Professeur Jacques Viguier et Peter Kovacs, juge à la Cour constitutionnelle de Hongrie – Centre universitaire Jean-François Champollion, Albi, 19 octobre 2012.
  • Eneritz ZABALETA, « Political tools to protect cultural rights », Colloque : On the prevention of cultural genocide – Self-determination and protection of cultural rights, University of Nevada Reno, 14-15 novembre 2012.
  • Eneritz ZABALETA, « Education et langue basque : histoire d’une relation conflictuelle », Colloque : Droits linguistiques, inclusion et la prévention des conflits ethniques, XIII Journées de l’Académie internationale des droits linguistiques, Chiang Mai, 13-17 décembre 2012.
  • Eneritz ZABALETA, « Régulation et politique linguistique au Pays basque français », Colloque : Les droits linguistiques en France et en Espagne : le cas du Pays basque, Université de Moncton, 30 octobre 2013.
  • Eneritz ZABALETA, « La France et la ratification de la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires », Les journées d'étude du CREJA, Centre universitaire Jean-François Champollion, Albi, 14 mars 2014.
  • Eneritz ZABALETA, « Sobre el proceso de ratificación por Francia de la Carta europea de lenguas regionales o minoritarias », Jornadas del Master de derechos humanos, Universidad del País Vasco, Bilbao, 7 octobre 2014.
  • Eneritz ZABALETA, « Libertad de expresión y derechos lingüisticos », Colloque : Libertad de expresión, memoria histórica y multiculturalismo, Jornadas internacionales, Universidad del País Vasco, Bilbao, 19 et 20 novembre 2014.
  • Eneritz ZABALETA, « El derecho a decidir : aspectos socioeconómicos – Mesa redonda – », Jornadas internacionales. Estados y naciones en el siglo XXI : Democracia y Derecho a decidir, Universidad del País Vasco, San Sebastian, 10, 11 et 12 décembre 2014.

IV - COOPERATIONS TRANSFRONTALIERES

A - Articles dans des revues nationales ou internationales - Chapitres d'ouvrages

  • Michel CASTEIGTS « Transactions interculturelles et intégration territoriale. Le cas du Pays basque », Pensée plurielle, 2009/2, n°21, p. 179-193
  • Michel CASTEIGTS «Optimisation du développement durable et management territorial stratégique: de la gouvernance locale à la transaction sociale », VertigO- la revue électronique en sciences de l'environnement, Hors-série 6, 2009 http://vertigo.revues.org/index8987.html
  • Michel CASTEIGTS « Territorialités et temporalités en Méditerranée :la leçon de Braudel », in Sedjari A. (dir.), Euroméditerranée : histoire d’un futur, Paris/Rabat, L’Harmattan, 2009.
  • Michel CASTEIGTS « Réforme(s) territoriale(s) : de la complexité comme solution à la simplification comme problème », Espaces et sociétés, 2010 n°42, p. 125-130.
  • Michel CASTEIGTS « Mythes métropolitains et territorialités urbaines dans le processus de globalisation : un repérage critique » in Sedjari A (dir.), Performance urbaine et droit à la ville, Paris/Rabat, L’Harmattan, 2010
  • Michel CASTEIGTS « Réformer l'administration publique en France : histoire d’une réforme au-delà (ou en dehors) du NPM », in Beck J. et F. Larat (dir.), Jenseits von New Public Management? Reform von Staat und Verwaltung in Europa / Au-delà de la Nouvelle Gestion Publique? Les réformes de l’Etat et de l’administration en Europe, Baden Baden, Nomos Verlag, 2011
  • Michel CASTEIGTS « Quelques enjeux interculturels de la mondialisation, autour des notions de proximité, d’identité et de territoire », in Sedjari A., Cultures et culture : un défi pour les droits de l’homme, Paris/Rabat, L'Harmattan, 2011
  • Michel CASTEIGTS « De la gestion des crises au management de la société du risque : une révolution culturelle », in Sedjari A. (dir.), Gouvernance, risques et crises, Paris/Rabat, 2012
  • Michel CASTEIGTS, Les paradoxes de l’équité territoriale, in Sedjari A. (dir.), Droits humains et développement des territoires. Vers un nouveau modèle de gouvernance, Paris/Rabat, L’Harmattan, 2013
  • Michel CASTEIGTS, « Pour un programme de recherches interdisciplinaires sur les dynamiques transfrontalières et la coopération territoriale. Enjeux épistémologiques et repères méthodologiques », in Beck J. et B. Wassenberg (dir.), Vivre et penser la coopération transfrontalière (Vol. 6), Vers une cohésion territoriale transfrontalière , Stuttgart, Steiner Verlag (à paraître).
  • Michel CASTEIGTS « Risques, développement durable et transactions discursives », Pensée plurielle, 2014/1, n°33.
  • Michel CASTEIGTS « Le pilotage des politiques européennes: un management sous injonctions paradoxales. Ou pourquoi l'Europe est de plus en plus schizophrène », in Beck J., A. Dussap-Kohler et F. Larat (Hrsg./dir.), Les cultures administratives transnationales en Europe - Etat des lieux et perspectives / Transnationale Verwaltungskulturen in Europa – Bestandsaufnahme und Perspektiven, Zürich/Baden-Baden, Dike/Nomos (à paraître)
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “La unidad del ordenamiento a la hora de abordar la cooperación transfronteriza”, dans l’ouvrage collectif Estudios de Derecho Internaional y Derecho europeo en Homenaje al Profesor Manuel Pérez González, Tomo I, ed. tirant lo blanch, Valencia, 2012, pp.561-583.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE Romani, “Les relations de voisinage franco-espagnoles en matière d’environnement”, Annuaire Français de Droit International, vol. LVIII, 2012, pp. 415-442
  • Maiténa POELEMANS, « Vers une nouvelle incrimination de la traite des êtres humains en droit français », in Trata de los seres humanos e inmigracion ilegal, sous la dir. de I. Riano, M. Richard et M. Poelemans, Aranzadi, Navarra, 2013, p.295
  • Maiténa POELEMANS, « La libertad de circulación de los extranjeros extracomunitarios en el espacio Schengen », in El espacio de libertad, seguridad y justicia ; Schengen y protección de datos sous la dir. de AR Gonzalez Vértiz, J Goizueta y I Pariente, Aranzadi, Navarra, 2013, p.23

B - Ouvrages

  • Maiténa POELEMANS, Trata de los seres humanos e inmigracion ilegal, sous la dir. de I. Riano, M. Richard et M. Poelemans, Aranzadi, Navarra, 2013

C - Communications, colloques

  • Michel CASTEIGTS, « La frontière Suisse-Europe : un objet frontalier non identifié . Réflexions sur l’évolution du statut de la frontière », conférence sur invitation dans le cadre de la Première conférence des régions européennes frontalières de la Suisse, 6 février 2009, Besançon
  • Michel CASTEIGTS, “Coopérer en matière d’emploi et de formation profesionnelle : enjeux, outils et obstacles”, conference sur invitation, colloque La cooperation transfrontalière sur les themes de l’emploi et de la formation profesionnelle, organisé par la Maison de l’emploi de St Louis, 16 et 17 novembre 2010
  • Michel CASTEIGTS, “Focus on research on cross-border issues”, Second séminaire du réseau TEIN (Transfrontalier Euro-Instituts Network), 28 et 1er mars 2011, Villach (Autriche)
  • Michel CASTEIGTS, «Management territorial stratégique: l'intelligence collective au service du développement local », conférence sur invitation, colloque La coordination des acteurs du développement durable, organisé par l’Université de Béjaïa, 15 et 16 Mai 2011 , Béjaïa (Algérie)
  • Michel CASTEIGTS, « Les métamorphoses de la gouvernance territoriale », conférence sur invitation, 2èmes Rencontres CNFPT Collectivités d'Outre-Mer, 7 et 8 juin 2011, INSET, Angers.
  • Michel CASTEIGTS, « Manager la société du risque : les interpellations de la sociologie aux sciences de gestion », communication au colloque  Management public et politiques publiques à l'épreuve de la crise internationale,  organisé par l'Association Internationale de Recherche en Management Public (AIRMAP) et la revue Politique et Management Public (PMP), le 30 juin 2011, Université de Versailles Saint Quentin en Yvelines.
  • Michel CASTEIGTS, « L’évaluation des projets transfrontaliers, entre complexité et contradictions », conférence sur invitation, International Conference on Cross-Border Training and Impact Assessment in Ireland and Europe, 27 et 28 octobre 2011, Cavan (Irlande).
  • Michel CASTEIGTS « La gestion intégrée des zones côtières comme configuration de management territorial stratégique », conférence sur invitation, colloque La gestion intégrée des zones côtières, approches théoriques et empiriques comparées, organisé par l'Université des Antilles et de la Guyane (CEREGMIA) et l'Euro-Institut Caribéen, 24 et 25 novembre 2011, Fort-de-France.
  • Michel CASTEIGTS, “Regards épistémologiques sur les mutations des territorialités en Méditerranée”, conférence sur invitation, colloque Les frontiers ont-elles encore un sens? Organisé par l’Institut catholique de la Méditerranée, 24 et 25 janvier 2013
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “Le rôle de l’État dans le GECT”, Colloque Le GECT comme instrument de la coopération interterritoriale, RENTI, Ginebra (Suiza), 27 de febrero de 2009
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, C., “Reflexión sobre la aplicación concreta del nuevo marco jurídico”, Seminario Internacional “La AECT, un nuevo instrumento para la cooperación transfronteriza”, Consorcio Bidasoa-Txingudi, Hendaya (Francia), 5 de junio de 2009.
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “La coopération transfrontalière et les langues régionales », Colloque international : De la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires à la révision constitutionnelle de 2008 : influences ou convergences ?, Faculté Pluridisciplinaire de Bayonne, 24 septembre 2009
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, “ Bilan du GECT dans la pratique transfrontalière de l’Espagne avec la France et le Portugal”, Quel avenir pour le GECT?, Colloque RENTI, Lyon, 10-11 février 2011
  • Carlos FERNANDEZ DE CASADEVANTE ROMANI, «Une approche comparée du droit et des politiques en matière de culture et de patrimoine », Colloque Terre de frontières, Master II CTI, Faculté Pluridisciplinaire de Biarritz-Anglet-Bayonne, Université de Pau et des Pays de l’Adour, 9 avril 2011
  • Henri LABAYLE, « Rapport de synthèse » in Quel avenir pour le GECT, Renti, Lyon, 2011
  • Henri LABAYLE, « La suppression des contrôles aux frontières intérieures de l’Union européenne », in Les frontières de l’Union, Paris II, Bruylant 2013

 

Attractivité académique

 

I - AUDITIONS PUBLIQUES

A - Parlement européen :

  • H. Labayle, « L’avenir du système européen d’asile : perspectives à long terme », Commission Libé, Parlement européen, Bruxelles mars 2010 ;
  • H. Labayle, « L’impact de la Charte des droits fondamentaux sur l’Espace de liberté, sécurité et justice », Commission Libé, Parlement européen, Bruxelles juin 2010 ;
  • H. Labayle, « Construire une Europe judiciaire en relation avec les espaces judiciaires nationaux : le rôle d’Eurojust », Commission Libé, Parlement européen, Bruxelles octobre 2011 ;
  • H. Labayle, « Vers la négociation et l’adoption du programme succédant à Stockholm », Commissions Juri et Libé, Parlement européen, Bruxelles septembre 2013 (en collaboration avec Ph. De Bruycker) ;
  • S. Peyrou, "Some aspects related to privacy or discrimination", Commission Transports, Parlement européen, Bruxelles, novembre 2014

B - Commission européenne :

  • L. Dumoulin, consultation organisée par la Commission européenne « Collective redress », avril 2011 ;

C - Présidence belge de l’Union européenne :

  • H. Labayle, « Which policy on legal migration for the UE ? The external dimension », Bruxelles, novembre 2010

D - Présidence italienne de l'Union

  • H. Labayle, Rome, "Mutual recognition and trust in light of the judgement of the CJEU in the NS case", Rome, novembre 2014

E - Chambre des Lords

  • Présentation du rapport De Bruycker/Labayle sur le futur du Programme de Stockholm par P. de Bruycker, Londres, décembre 2013

 

II - PRODUITS DESTINES A DES ACTEURS DU MONDE SOCIAL, ECONOMIQUE ET CULTUREL

A - Partenariat avec le GIP Justice Coopération internationale

  • en collaboration avec la mission de Recherche Droit et justice : jumelage avec l’Algérie (2013- 2014)

B - Expertises et travaux pour le compte des institutions de l’Union :

  • « Les documents classifiés à la lumière du traité de Lisbonne », (H. Labayle), Parlement européen, Bruxelles, 2010 ;
  • « Study on the future institutionnal and legal framework of judicial coopération in criminal matter in the EU », Rapport français, IRCP Ghent University (dir.), Commission, 2011, (H. Labayle, M. Poelemans, K. Leen-Yatime), publié
  • « La mise en place d’un système européen commun d’asile, bilan de l’application des instruments existants et propositions pour un nouveau régime », Odysseus, Parlement européen, 2011 (H. Labayle),
  • « Preparatory study for an impact assessment on a new legislative instrument on illicit drug traficking », Eclan, Commission, 2011, (M. Poelemans, L. Dumoulin)  
  • « EU Counter-terrorism offences : What impact on national legislation and case-law ? », Eclan, Etude pour le compte de la Commission, Rapport français, 2012, (H. Labayle), publié
  • « L’impact de la jurisprudence de la CEJ et de la CEDH sur l’asile et l’immigration », en collaboration avec Ph. De Bruycker, (H. Labayle), Parlement européen,Bruxelles 2012 ;
  • « Openness, transparency and access to documents and information in the EU », (H. Labayle), Parlement européen, Bruxelles, 2013 ;
  • « Comparative study on best practices in the field of forced return monitoring », Matrix et Odysseus, Commission, 2013 (H. Labayle, M. Garcia)
  • « Toward the negociation and adoption of the Stockholm Programme, successor for the period 2015-2020 », en collaboration avec Ph. De Bruycker, Parlement européen, (H. Labayle), Bruxelles, 2013.
  • Suivi de la politique française, Réseau européen des migrations (EMN), Odysseus, Commission, (H. Labayle) 2013 - 2015
  • Suivi de la politique de retour dans l’Union (MPC de l’Institut de Florence), Odysseus, Commission, (H. Labayle, M. Garcia) 2013-2015
  • Suivi des alternatives à la détention, Made Real (Make alternative to detention in Europe a reality by exchanges, advocacy and learning), Commission, (J. Petin), 2013-2015

C - Réalisations au titre des contrats financés :

  • Fonds communs Aquitaine-Euskadi, durée 3 ans (2011/2014), « L’Europe et ses frontières – Visions croisées », (UPV/ CDRE-UPPA), Journée d’études : « Les frontières dans l’Europe, San Sebastian le 20 décembre 2012, Journée d’études  « Le modèle démocratique européen et ses frontières » Bayonne, les 7 et 8 novembre 2013
  • Communauté de Travail des Pyrénées, Réseau ETIC Groupe d’études transfrontalières sur le trafic illégal et l’immigration clandestine ( UPV, Université Publique de Navarre, Université de Zaragoza, UPPA, Comptrasec), Journée d’étude, « Trafic illégal et immigration clandestine » le 13 décembre 2010 à l’Université du Pays basque, Publication d’un ouvrage, Estudios sobre la lucha contra la trata de seres humanos, Aranzadi, 2013
  • Communauté de Travail des Pyrénées, Réseau ESECO Groupe d'études sur la résolution extrajudiciaire des conflits transfrontaliers dans le cadre civil et commercial (UPV, Université Publique de Navarre, ESADE, UPPA), publication d’un ouvrage collectif « La mediacion en asuntos civiles y mercantiles. La transposicion de la Directiva 2008/52 en Francia y en Espana », La Ley, 2013

D - Contributions des membres du CDRE au Blog du GDR-CNRS n° 3452

Géraldine Bachoué

  • Avis 2/13 de la CJUE : l'accord d'adhésion de l'UE à la CEDH méconnaît les caractéristiques spécifiques du droit de l'Union concernant le contrôle juridictionnel en matière de PESC. Et après ? (31 janvier 2015)
  • Périmètre et nature du contrôle juridictionnel dans le cadre de la lutte contre le terrorisme : bientôt la fin de la saga des affaires Kadi ?
  • Coopérations renforcées et brevet européen : précisions jurisprudentielles à venir
  • Le rattachement de la lutte contre le terrorisme à la PESC ou comment la Cour de justice déroule son fil d’Ariane…
  • Rattacher la lutte contre le terrorisme à la PESC ? Dilemme pour la CJUE
  • Cédez le passage ? Quand la Cour de justice freine la route de la coopération policière

Pierre Berthelet

  • Quel avenir pour le comité de sécurité intérieure européenne (COSI) ?

Amélie Da Fonseca

  • « Bruxelles I » et la position du Danemark devant la Cour de justice : quel renvoi préjudiciel ?
  • Le contrôle du renvoi à titre préjudiciel à la Cour de justice par la Cour européenne des droits de l’Homme : un effet imprévu du principe de non-discrimination
  • Renvoi préjudiciel et recours en responsabilité extracontractuelle d’un Etat membre : réflexions inspirées de l’application de la directive 2004/38 dite « droit de séjour »
  • Le Tribunal constitutionnel espagnol et la Cour de justice : un dialogue d’apparat autour de l’affaire Melloni ?

Emilie Darjo

  • Protection pénale de l’Euro : vers l’harmonisation des sanctions ?
  • Affaire Assange : la Cour suprême britannique confirme l’extradition vers la Suède du fondateur de WikiLeaks. Un succès pour l’espace de liberté ?

Laura Delgado

  • Droits fondamentaux et migrants : quand les Nations Unies pointent l’Union européenne du doigt…
  • Mise en oeuvre du droit de l’Union et principe ne bis idem … précisions jurisprudentielles sur l’applicabilité de la Charte des droits fondamentaux
  • Droits fondamentaux et reconnaissance mutuelle : une jurisprudence troublante ou simplement prudente ?

Léa Dumont

  • Citoyenneté européenne et égalité de traitement : entre exigence d’intégration et droit fondamental à la libre circulation

Lisa Dumoulin

  • Lutte anti-blanchiment et lutte contre le terrorisme : de nouvelles propositions européennes
  • La stratégie de l’UE en vue de l’éradication de la traite des êtres humains pour la période 2012-2016
  • La stratégie européenne de lutte contre le terrorisme : dernier rapport du coordinateur de la lutte contre le terrorisme de l’Union

Aurélie Garbay

  • « Prévenir la radicalisation conduisant au terrorisme et à l’extrémisme violent », un enjeu aux facettes multiples dans l'Union européenne

Marie Garcia

  • Exception d'ordre public et retour volontaire de l'étranger en situation irrégulière : quelle interprétation de l'article 7§4 de la directive "retour" ? (7 mars 2015)
  • Non refoulement et droit à un recours effectif : le rappel des obligations conventionnelles des Etats dans l’arrêt du 10 octobre 2013, CEDH, K.K c. France, n°18913/11.
  • La directive « retour » devant son juge : précisions importantes de la Cour de justice
  • La directive retour à nouveau dans le prétoire de la CJUE : précisions quant à son applicabilité à un ressortissant d’Etat tiers ayant introduit une demande de protection internationale au cours de sa rétention.
  • Suite des aventures jurisprudentielles de la directive « retour » : l’exécution de l’éloignement par le biais d’une sanction pénale.
  • La nouvelle Politique européenne de voisinage, colosse aux pieds d’argile ?
  • L’interception des migrants en mer, entre droits fondamentaux et contrôle des frontières extérieures de l’UE
  • La mise en œuvre de la directive « retour » : analyses et critiques des centres de rétention en Italie, en Espagne et à Chypre
  • La politique de retour des étrangers : quand le Conseil et la Cour de justice s’en saisissent

Henri Labayle

  • La crise de l'immigration dans l'Union : vivre et laisser mourir ? (23 mars 2015)
  • La réaction de l'Union aux attentats terroristes de Paris : que tout change pour que rien ne change ? (9 février 2015)
  • Réponses au terrorisme après les attentats de Paris : le syndrome du réverbère (19 janvier 2015)
  • Lampedusa : chronique de drames annoncés
  • De l’évaluation à la déception : le bilan du Programme de Stockholm mérite-t-il une suite ?
  • Suite et bientôt fin : la saga du mandat d’arrêt européen devant le Conseil constitutionnel
  • Fin des questions, début des difficultés ? La réponse de la Cour de justice au Conseil constitutionnel à propos du mandat d’arrêt européen dans l’affaire Jérémy Forrest
  • Working paper n° 5 – Refonder l’ELSJ à la lumière de la jurisprudence Van Gend en Loos ?
  • Never say never again : quand le mandat d’arrêt européen conduit le Conseil constitutionnel à poser sa première question préjudicielle à la Cour de justice
  • Mandat d’arrêt européen et degré de protection des droits fondamentaux, quand la confiance se fait aveugle
  • Guerre contre le terrorisme et intervention française au Mali : quelle place pour l’Union européenne ?
  • Une présidence irlandaise de l’ELSJ : pour quoi faire ?
  • Présidence chypriote de l’Union : quel bilan en matière JAI ?
  • Le contrôle juridictionnel de la coopération intergouvernementale dans l’Union européenne : une thèse au sein du GDR.
  • L’affaire Aurore Martin, le mandat d’arrêt européen et le pouvoir politique : ni lu, ni compris ?
  • Je t’aime, moi non plus : quand l’opt-out britannique en matière d’entraide répressive se concrétise
  • Lutte contre le terrorisme et preuves obtenues sous la torture : prolongements en droit interne de la jurisprudence Abu Qatada
  • Le droit d’asile devant la persécution religieuse : la Cour de justice ne se dérobe pas
  • Bridge over troubled waters : le bilan JAI de la présidence danoise de l’Union (suite et fin)
  • Bridge over troubled waters : le bilan JAI de la présidence danoise de l’Union (1)
  • Perseverare diabolicum : lecture approximative de la jurisprudence européenne sur la garde à vue à la Cour de cassation
  • Portrait de l’immigration dans l’Union européenne : des chiffres et des faits
  • Le chaînon manquant : quand la Cour de justice établit le lien entre citoyenneté de l’Union, sécurité publique et Espace de liberté
  • Du bon usage des délais de renvoi devant la Grande chambre de la CEDH ….L’éloignement d’Abu Qatada est désormais possible
  • Conseil JAI : Eviter les sujets qui fâchent
  • Enfin, un Etat membre répond de ses manquements en matière migratoire devant la Cour de justice de l’Union
  • Approche globale de la question des migrations et de la mobilité dans l'Union : de la langue de bois à l'autosatisfaction
  • Parquet européen et contrôle de subsidiarité : premier carton jaune pour l'Espace de liberté
  • Vingt ans après Maastricht, un simple anniversaire ?
  • La Cour de justice et la protection des données : quand le juge européen des droits fondamentaux prend ses responsabilités
  • Marché intérieur et Espace de liberté, sécurité, justice : propos iconoclastes sur leurs relations mutuelles
  • Le prochain Programme en matière JAI : quelle aptitude à relever les défis de l’Union ?

Joanna Pétin

  • Précisions jurisprudentielles sur la protection des étrangers dans le droit de l'Union : un acte manqué ? (5 janvier 2015)
  • L'examen de la crédibilité d'une demande de protection fondée sur l'orientation sexuelle : vers une reconnaissance de la vulnérabilité des demandeurs homosexuels par la CJUE ? (14 décembre 2014)
  • La promotion des valeurs de l'Union et de la dignité des droits de l'étranger en situation irrégulière par son avocat général sera-t-elle entendue par la Cour de Justice ? (27 septembre 2014)
  • La Cour de justice et les persécutions fondées sur l’orientation sexuelle, un tournant de la protection internationale ? CJUE, 7 novembre 2013, X., Y. et Z., C-199/12, C-200/12 et C-201/12
  • Le règlement Dublin II devant ses juges
  • Extradition et troubles mentaux : la prise en compte croissante de la vulnérabilité par la Cour européenne des droits de l’Homme
  • Recours effectif et procédure accélérée en matière d’asile : l’écho luxembourgeois de la jurisprudence de la CEDH
  • Quand le droit de l’Union complète heureusement la Convention de Genève, précisions jurisprudentielles sur la clause d’exclusion de la directive « Qualification » (CJUE, Grande Chambre, 19 décembre 2012, Abed El Karem El Kott et autres, C-364/11)
  • La portée du droit d’être entendu lors d’une demande de protection subsidiaire : confirmation de la prééminence des droits fondamentaux dans le système européen d’asile commun, CJUE, 22 novembre 2012, M.M., C-277/11
  • La protection subsidiaire devant la Cour de justice : un concept autonome du droit de l'Union européenne
  • Droit d'asile et précisions jurisprudentielles sur la clause de souveraineté du règlement Dublin
  • Après la clause de souveraineté, la clause humanitaire du règlement Dublin décryptée par la Cour de justice

Sylvie Peyrou

  • Le PNR européen à la croisée des chemins : protection des données et lutte contre le terrorisme (25 janvier 2015)
  • L’affaire Prism et ses suites : beaucoup de bruit pour rien ?
  • De l’accord PNR à Prism, bilan et perspectives sur les malentendus transatlantiques : lutte anti-terroriste versus protection des données personnelles
  • Le rejet de la proposition de directive « PNR » par la Commission des libertés civiles du Parlement européen : l’impossible alchimie entre lutte contre le terrorisme et protection des droits fondamentaux ?
  • Le paquet législatif « Frontières intelligentes », défense et illustration par la Commission d’un parfait oxymore : une Europe ouverte et sûre
  • Lutte contre le terrorisme et droits fondamentaux : pour la Cour européenne des droits de l’Homme, l’un ne va pas sans l’autre
  • Protection des données et Eurodac : paradoxes déroutants d’une érosion continue des droits fondamentaux malgré un contexte juridique favorable
  • Diplomatie ou droits fondamentaux ? Questions sur la conclusion de l’accord PNR entre les Etats Unis et l’Union
  • La Cour de justice et la consécration du droit à l’oubli numérique : quand le juge européen des droits fondamentaux persiste et signe …(14 mai 2014)
  • Le futur accord Etats Unis- UE relatif aux données à caractère personnel en matière de lutte contre le terrorisme : avancées décisives et soft power (28 juin 2014)

Maitena Poelemans

  • Les droits procéduraux dans l’Union européenne sont-ils le meilleur terrain de compromis ?
  • Une législation sur les garanties procédurales des suspects dans les procédures pénales : prudence est-elle bien toujours mère de sûreté ?

Fabrice Riem

  • La proposition de directive visant à faciliter l’exercice des droits des travailleurs européens migrants : circulez, il n’y a rien à voir ?
  • Regroupement familial : attention aux « pièces rapportées »… Première interprétation par la CJUE des « autres membres de la familles » visés par la directive 2004/38
  • L’invocabilité de la Charte des droits fondamentaux et le droit du travail : « avec toi je suis toujours dans l’incertain »

Francisco Rodriguez

  • Frontex et la question des droits de l’homme dans son rapport d’analyse des risques de 2013 : omission ou dépréciation ?
  • Principe de non refoulement des demandeurs d’asile et droit à un recours effectif : un rappel à l’ordre de la CEDH dans l’arrêt AC c. Espagne
  • La saga du droit à un recours effectif de nouveau devant la CEDH : le droit espagnol des étrangers propice au refoulement des demandeurs de protection?


Janvier 2018 - Décembre 2019 : David Ruano Delgado (UPV/EHU, Espagne)

Juin - Juillet 2018 : Maria Fernandez de Casadevante (UPV/EHU, Espagne)

Juin - Août 2017 : Maria Fernandez de Casadevante (UPV/EHU, Espagne)

Juillet 2017 : Javier Blazquer (Universidad Publica de Navarra, Espagne )

Mai - Juillet 2017 : Isabel German (UPV/EHU, Espagne)


L'étude de la frontière et du droit de la coopération transfrontalière constitue un axe de recherche prioritaire du CDRE. Localisé à proximité de la frontière entre la France et l’Espagne, le CDRE est un point de rencontre privilégié avec les universités espagnoles de Navarre et du Pays basque Sud. D’où la création et l'animation de plusieurs réseaux thématiques de recherche avec ces universités et la conduite de nombreux projets scientifiques communs.

1. Les réseaux de travail : 

 

    • le réseau académique ETIC sur l’immigration illégale et la traite des êtres humains, financé par la Communauté de Travail des Pyrénées
    • le réseau académique ESECO sur la médiation et l’arbitrage, financé par la Communauté de Travail des Pyrénées

Ces deux réseaux ont été créés en partenariat avec l’Université du Pays basque (UPV/EHU), l’Université Publique de Navarre (UPNA) et l’Université de Saragosse (Unizar). Dans ce cadre, plusieurs journées de travail ont eu lieu :

    • en 2013, ESECO a organisé à Pampelune une journée intitulée "Les principes de la médiation dans la directive 2008/52 et sa transposition en droit français et espagnol ", 
    • en 2014, ETIC a organisé au CDRE une journée consacrée à "la coopération entre les acteurs luttant contre la traite des êtres humains, illustration à partir du cas France - Espagne ", réunissant chercheurs, magistrats et policiers de l'Union,

Diverses publications illustrent la vitalité de ces relations transfrontalières :

    • La mediacion en asuntos civiles y mercantiles. La transposicion en Francia y en Espana, La Ley, 2012
    • El arbitraje : una nueva perspectiva desde el Derecho espanol y el Derecho francès, La Ley, 2013
    • Estudios sobre la lucha contra la trata de seres humanos, Aranzadi, 2013  

 

2. Les programmes de travail :

 

    • le programme « l’Europe et ses frontières », financé dans le cadre des Fonds communs Aquitaine-Euskadi, réunit depuis trois ans enseignants chercheurs, doctorants et étudiants de Master 2 sur des thématiques liées à la frontière, tant à Bayonne qu'à San Sebastian, en collaboration avec J.I Ugartemendia (Chaire Jean Monnet), UPV/EHU
    • le CDRE accueille pour leurs activités de recherche les enseignants de San Sebastian,
    • le programme de développement de co-tutelle de thèses depuis 2013 (2 co-tutelles en cours), 
    • le projet de Master commun Droit de l’Union européenne entre l’UPPA et l’UPV, appuyé sur le Centre d'Excellence Jean Monnet d'Aquitaine et l'Action Jean Monnet obtenue par la Faculté de San Sebastian, J.I Ugartemendia (Chaire Jean Monnet). http://www.jeanmonnetcatedra.eu/

 

Le travail en réseau caractérise la recherche conduite au CDRE. Ses membres collaborent avec des collègues ou des équipes universitaires engagées dans des recherches collectives menées au plan européen et national (universités de Bruxelles, Louvain, Milan, Genève, Madrid, Institut européen de Florence, universités de Navarre et du Pays basque).

Ces travaux sont conduits le plus souvent en liaison avec les institutions de l’Union, telles que la Commission et le Parlement.

1. Réseaux européens 

Le CDRE est aujourd'hui un partenaire naturel des grands réseaux universitaires européens travaillant sur l'ELSJ :

    • ODYSSEUS, créé par la Commission, est coordonné par l'Universite Libre de Bruxelles, il réunit les universités européennes spécialisées en matière d'asile et d'immigration,
    • ECLAN, coordonné par l'Université Libre de Bruxelles, réunit universitaires et praticiens autour des questions de droit pénal européen.

Le CDRE exploite ses relations de collaboration sur le plan transfrontalier avec les universités espagnoles voisines, sous la forme de réseaux thématiques soutenus par les collectivités territoriales :

    • ETIC réunit les universités de Pampelune, Saint Sébastien et le CDRE. Il travaille sur les questions de lutte contre le terrorisme, de traite des êtres humains et d'immigration illégale,
    • ESECO sur les solutions extrajudiciaires des conflits transfrontaliers : médiation et arbitrage

2. Réseaux nationaux

    • Le CDRE est à l’origine de la création d’un Groupement de Recherches (GDR), basé et animé par le CDRE, le GDR CNRS n°3452 dédié au « Droit de l’Espace de liberté, sécurité et justice. Il réunit les laboratoires européens des universités d’Aix Marseille, Lyon, Toulouse, Nanterre.
    • la création du Centre d'Excellence Jean Monnet d'Aquitaine labellisé par la Commission en 2014 offre des perspectives de collaboration intégrée au CDRE avec ses partenaires de l'Université de Bordeaux (CDREI) et de Sciences-Po Bordeaux. 

3. Partenariat

L’action du CDRE est fortement appuyée par un travail en partenariat mené en collaboration avec l’Institut Universitaire Varenne, association créée sous l’impulsion de la Fondation Varenne et dont l’objet social consiste à promouvoir et diffuser les connaissances dans les domaines de la Paix, de la Démocratie et de la Presse.

Ce partenariat contribue à l’édition et la diffusion de la revue Est Europa, ainsi qu’au développement des activités liées aux transitions démocratiques et à la Justice transitionnelle.

 


   

 

writen by: CDRE

La recherche de stage est un exercice difficile qui nécessite organisation et méthode. Vous trouverez ci-dessous quelques outils et ressources disponibles au CDRE qui vous permettront d'optimiser vos recherches 

  • Réaliser un CV et une lettre de motivation efficaces :
  1. Consulter les ouvrages disponibles au CDRE ou à la BU de Bayonne. Guide du CV en ligne (en anglais) 
  • Trouver des annonces de stage - quelques sites pertinents :
    1. Village-justice.com
    2. Carrières-juridiques.com
    3. Jooble.org
    4. indeed.fr
    5. Bourse Interministérielle de l'Emploi Public
    6. Adhérer au groupe privé Facebook "Communauté européenne du stage"
  • Trouver des annonces de stage dans les think tanks :
    1. Consulter l'annuaire des think tanks disponible au CDRE (inclus index de thématiques par mots clés)
  • Faire des candidatures spontanées :
    1. Utiliser un annuaire en ligne d'entreprises  : ORBIS (via Bases de données de l'UPPA)
    2. Consulter l'annuaire des think tanks du CDRE
  • Développer son réseau :
    1. Créer son profil sur LinkedIn (1er réseau social professionnel mondial en terme d'audience)
    2. Adhérer aux groupes Master  EEI sur LinkedIn :
    3. Contacter les étudiants des promos précédentes (sur demande auprès de la documentaliste)

 

 

 


1 - La recherche documentaire au CDRE

Les Masters 1 et 2 bénéficient d’une formation à la méthodologie et à l’utilisation des outils documentaires par la documentaliste du CDRE.   

2 – Annuaire de sites web et think-tanks utiles

Une liste des sites web classés par grands thèmes est élaborée et mise à jour régulièrement par les documentalistes du CDRE.    
Revue  des Think-tanks élaborée par la bibliothèque du Conseil européen : consulter les n° des revues     

3 – Liens utiles

eclas   dart europe   doaj


eso
    oister tel


formdoct
   jurisguide

 

 

 

 

La variété des débouchés offerts par le Master Etudes Européennes et Internationales s'exprime au mieux dans les témoignages des étudiants ayant suivi ses enseignements au cours des années précédentes.
La diversité de leurs itinéraires professionnels en atteste, qu'ils soient locaux, nationaux ou internationaux, dans le secteur public ou privé, en entreprise ou dans des professions classiques du droit telles celles de conseil ou d'avocat.

 

SNEED
« Le master 2 et son parcours Juriste européen ont constitué une véritable opportunité dans mon cursus : me mettant le pied à l'étrier, j'ai pu me réorienter et obtenir un stage qui a débouché sur un emploi! Le cadre est idéal, l'équipe sympathique et compétente, et j'y ai rencontré beaucoup d'amis qui maintenant travaillent aussi à Bruxelles. »

Vincent SNEED – Director Regulatory Affairs & Manager à l’Association Européenne des Radios Bruxelles. (M2 JE 2005-2006)


FIRMIN« Le master 2 Juriste européen, par son ouverture d’esprit et ses enseignements pratiques tournés vers les problèmatiques juridiques des entreprises, m’a permis de mettre à l’épreuve les connaissances théoriques acquises au cours des années précédentes.
Après diverses expériences professionnelles notamment au sein du groupe Total et de la compagnie Air France, j’exerce aujourd’hui la profession d’avocat au sein du barreau de Paris. Je travaille essentiellement en droit économique (contrats, distribution, consommation, concurrence), domaine dans lequel le droit communautaire est, comme chacun sait, omniprésent … ! »

Marie FIRMIN – Avocate en droit des contrats et droit de la distribution chez Viginti Avocats.

COESME
« Le Master « Juriste européen » est reconnu pour la qualité de ses enseignements, en particulier grâce aux nombreuses interventions de professionnels spécialisés dans les questions européennes, le tout dans un environnement à taille humaine.
Un de ses grands atouts est assurément le CDRE, un centre de recherches en droit de l’Union qui ne trouve que très peu d’équivalents en France, mettant à la disposition des étudiants ses ressources documentaires infinies ainsi que la très grande expertise de ses membres, notamment sur les questions relatives à l’Espace de liberté, sécurité et justice. »

Raphaël COESME – Agent du gouvernement français devant la CJUE - Consultant juridique au Ministère des Affaires étrangères. (M2 JE 2010-2011)


BRISARD« Ouverture d’esprit, curiosité et technicité juridique, telles sont les compétences professionnelles que m’a apporté le master « Juriste européen ». Je les utilise au quotidien dans mes fonctions de rapporteur à la Cour nationale du droit d’asile.
La qualité de l’enseignement académique, la disponibilité de l’équipe pédagogique, l’agréable cadre d’étude au sein d’une ville chargée d’histoire et la visite des institutions européennes dans un esprit de convivialité sont les atouts inégalables de ce master. »

Sébastien BRISARD – Rapporteur à la Cour nationale du droit d’asile. (M2 JE 2004-2005)

Schwab« Une équipe pédagogique impliquée, des intervenants extérieurs de renommée, un environnement de travail unique, des séminaires, visites d'études et projets de groupe stimulants, un grand oral... un excellent souvenir du master Juriste européen.
La diversité des cours proposés permet de se forger une réflexion personnelle tout en acquérant des connaissances pratiques très recherchées, y compris en dehors de l'Union européenne. Je l'ai constaté lors de mes stages et VIA effectués sur le continent asiatique. J’applique au quotidien ces enseignements dans mon nouveau travail »

Julie Schwab - Chargée de projet à l'Agence Erasmus+ France - Education et Formation. (M2 JE 2013-2014)


Guillot« Une formation en droit de l'Union européenne ne ferme pas les portes à la profession d'avocat, bien au contraire !!! Les cours du master Juriste Européen m'ont permis d'acquérir une compréhension complète de nos normes européennes et une vision atypique de notre droit interne. Grâce à ces connaissances, j'ai réussi le concours d'entrée à la formation des avocats.
Inscrit aujourd’hui au Barreau de Bayonne, j'ai réalisé mes premiers pas dans cette profession qui implique nécessairement de prendre en compte quotidiennement ce qui est voté et jugé au niveau européen. »

Thomas Guillot – Avocat en droit du travail au Barreau de Bayonne. (M2 JE 2011-2012)

GAUTHIER« Le master 2 et son parcours Coopération transfrontalière offrent un bagage solide et complet, une expérience concrète de gestion de projet, permettant de se lancer avec confiance dans le monde du travail.
Diplômé il y a près de 10 ans, je garde de cette formation des souvenirs très forts, liés à une atmosphère extraordinaire dans le groupe, entre étudiants mais également avec les enseignants et personnels administratifs »

Hervé GAUTHIER – Chef d’unité coopération internationale CEN et CENELEC Bruxelles. (M2 CTI 2005-2006)

 

CARILLO« Que m’a apporté le master Coopération transfrontalière ? Une année d’étude extraordinaire tant du point de vue humain que du point de vue universitaire, avec une promotion très dynamique, soudée et active pour mener les projets pré-professionnels soumis par l’équipe de professeurs, eux aussi très pertinents. Mes expériences précédentes de stage ont trouvé un sens dans ce cadre, au cours de cette dernière année d’études.
Cette formation m’a amenée aujourd’hui, à être chef de Pôle Europe/CPER au Département des Pyrénées-Atlantiques. J’y travaille quotidiennement dans les domaines suivants : législation européenne et application directe sur le territoire ; recherche de financement européen et ingénierie de projets pour les acteurs socio-économiques du territoire. »

Sophie CARRILLO – Chef du Pôle Europe/CPER Département Pyrénées Atlantiques. (M2 CTI 2005-2006)


HUGOT« Le master CTI m'a permis de découvrir de nouveaux domaines pertinents au regard de l'évolution de nos sociétés actuelles. La qualité des échanges avec de multiples professionnels et nos professeurs m'ont familiarisée avec les nombreuses structures de coopération existantes, éléments préalables à tout montage de projet en matière de coopération décentralisée.
J’ai effectué un stage de qualité qui a débouché sur une mission à l'étranger, à Casablanca, au Maroc. J’ai parallèlement souhaité m'investir dans une mission humanitaire d'aide à l'enfance afin de partager mes connaissances et mon expertise acquises au sein du master.»

Sarah HUGOT – Stagiaire au sein de la direction d’un établissement scolaire privé, Casablanca. (M2 CTI 2014-2015)

KARASU« Le master Juriste européen, par la qualité de sa formation académique et l'ouverture à l'international qu'il implique, a constitué pour moi une opportunité extraordinaire de travailler sur les questions européennes en Bulgarie au sein de la mission économique de l'ambassade de France, au Luxembourg au sein de la Cour de justice de l'Union européenne, à Bruxelles au sein d'un cabinet d'avocats d'affaires anglo-saxon de premier plan et en France au sein de l'Autorité de la concurrence.
En un mot, ce Master est un passeport formidable pour acquérir une expérience professionnelle de haut rang en France et à l'international. N'hésitez pas, foncez ! »

Deniz KARASU – Avocat à la Cour d'Appel de Paris (M2 JE 2003-2004)


simkova« Le master Juriste européen a été un atout considérable sur le marché du travail. Il m’a permis tout d’abord d’intégrer la Représentation permanente de la République tchèque auprès de l’UE pour un stage et ensuite de décrocher un poste de conseillère de la Commission Parlementaire des Affaires européenne à la Chambre des députés du Parlement tchèque.
J’ai énormément apprécié la qualité des enseignements dispensés par les professeurs et experts extérieurs reconnus venants de différents pays européens et de milieux professionnels très variés. En tant qu’étudiante étrangère (je suis tchèque) j’ai beaucoup apprécié l’accueil des professeurs et l’ambiance conviviale et de solidarité entre étudiants notamment au moment de l’élaboration des projets en groupe. »

Darina SIMKOVA – Conseillère de la commission parlementaire des affaires européennes, Chambre des députés du Parlement Tchèque. (M2 JE 2010-2011)

DUMENIEU« Séminaires d'études, montage de projets, intervenants professionnels, le master coopération transfrontalière est un savant mélange entre théorie et pratique. Il offre les compétences nécessaires à l’entrée sur le marché du travail.
En poste dans une collectivité territoriale, je mesure au quotidien la pertinence des enseignements développés durant mon année de M2. »

Sophie DUMENIEU – Chargée de mission Europe et coopération transfrontalière à l'Agglomération Cote basque Adour. (M2 CTI 2014-2015)


DEBAVELAERE« Le master Coopération transfrontalière m’a permis de recentrer mon parcours professionnel sur les questions internationales, et plus spécifiquement sur les actions inter-régionales mises en place par l’Union Européenne.
En présentant des outils aussi bien d’ordre juridique que liés à la gestion de projets, les modules enseignés ouvrent une large réflexion sur les relations mondiales, la diversité de ses acteurs et des thématiques.
Après avoir travaillé en collectivité sur les questions numériques, je suis aujourd’hui consultant spécialisé dans les financements européens, et expert évaluateur des projets Erasmus + sur les actions de mobilité et des partenariats stratégiques »

Alexis DEBAVELAERE – Consultant en communication & Financements Européens - Expert Evaluateur Erasmus +. (M2 CTI 2012-2013)

SAULME« La formation du master Juriste européen à Bayonne m'a permis d'être pleinement opérationnel au sein de mon cabinet d'avocats. Elle a renforcé à la fois ma compréhension des politiques et enjeux européens et mes techniques de communication.
Elle me permet ainsi au quotidien de communiquer et conseiller au mieux mes clients sur les politiques et actualités juridiques européennes impactant mes dossiers. »

Grégory SAULME – Avocat au Cabinet Karl Waheed Avocats-Paris. (M2 JE 2010-2011)


Le CDRE dispose d’un Centre de documentation situé au coeur du Campus de la Nive à Bayonne. D’une superficie de 250m2, Il est équipé de 40 places assises et  permet aux enseignants-chercheurs et étudiants en Master EEI la consultation sur place des ouvrages et périodiques. Sont également à leur disposition des ressources en ligne par Wifi ou sur les postes informatiques du CDRE.

 

europe direct logo paint  europe direct pau pays adour   https://www.europe-direct-ppa.fr/ 

 


Le CDRE a le statut de CDE (Centre de Documentation Européenne) reconnu par la Commission Européenne et intégré dans le réseau Europe Direct. 

L'objectif d'un Centre de Documentation Européenne (CDE) est d'aider les institutions d'enseignement supérieur et de recherche à promouvoir et à développer l'étude et la recherche dans le domaine de l'intégration européenne. Dans cette optique, toutes les publications officielles de l'Union européenne ainsi que les bases de données publiques de la Commission peuvent être consultées au CDRE, sur le site de la librairie de la Commission européenne EU Bookshop ou bien sur le site Europa.eu.

eubookshop commission europeeu

Le centre de documentation permet la consultation de plus de 10 800 ouvrages, dont :


     - 250 Mélanges
     - 169 thèses papier
     - 310 thèses numériques
     - 110 titres de périodiques juridiques.

Sont  également consultables des périodiques généraux tels que la Semaine juridique, Dalloz, AJDA, RFDA, etc. et spécialisés sur l'Europe (RDUE, RTDE, Common Law Market Review, Revista de Derecho Comunitario Europeo, etc.) ainsi que la plupart des grandes bases de données en ligne.

Les catalogues et bases de données sont consultables à distance (Accès libre pour le catalogue et authentifié pour les bases de données) via le portail documentaire de l’UPPA.

Le fonds documentaire du CDRE est organisé selon un plan de classement thématique des grands axes de recherche du laboratoire et en lien avec les UE enseignées en Master EEI :

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           Le catalogue (Primo) des ouvrages du CDRE est accessible par le portail documentaire de l’UPPA.

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 Netvibes

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  •  Liste périodiques (et leur accès en ligne - Sur demande pour certains titres) mise à jour : Juin 2021) 

 

 

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 mélanges cdre

 

 

Think tank review

 

 

 

 

 

 

 

  •  Nouvelles acquisitions   :

         Novembre 2020       Décembre 2021   Septembre 2022

 

                                                                                                      

 

       Lire les bulletins de la Think tank Review : ici

        Moteur de recherche de la Think tank Review : ici

 

  •  Documentation pour la recherche de stage

 Annuaire des think tanks 

 Effectuer un stage dans les institutions européennes

         Guide des stages en France (à jour Juin 2018)

         Moteur de recherche des organisations internationales

 

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Le CDRE dispose d’une salle de documentation située au cœur du centre. D’une superficie de 250m2, elle est équipée de 45 places assises et elle permet aux enseignants-chercheurs et étudiants en master la consultation sur place des ouvrages et périodiques. Sont également à leur disposition des ressources en ligne par Wifi ou sur les postes informatiques du CDRE.

 

europedirect Le CDRE a le statut de CDE (Centre de Documentation Européenne) reconnu par la Commission Européenne et intégré dans le réseau Europe Direct.

L'objectif d'un Centre de Documentation Européenne (CDE) est d'aider les institutions d'enseignement supérieur et de recherche à promouvoir et à développer l'enseignement et la recherche sur l'intégration européenne. Dans cette optique, toutes les publications officielles de l'Union européenne ainsi que les bases de données publiques de la Commission peuvent être consultées au CDRE, sur le site de la librairie de la Commission européenne (EU Bookshop) ou bien sur le site Europa.eu

eubookshop commission europeeu

Le centre de documentation permet la consultation de près de 10 800 ouvrages, dont :
     - 250 Mélanges
     - 169 thèses papier
     - 310 thèses numériques
     - 110 titres de périodiques juridiques.

Sont  également consultables des périodiques généraux tels que la Semaine juridique, Dalloz, AJDA, RFDA, etc. et spécialisés sur l'Europe (RDUE, RTDE, Common Law Market Review, Revista de Derecho Comunitario Europeo, etc.) ainsi que la plupart des grandes bases de données en ligne.

  • Nos équipements :

    >> 4 postes informatiques
    >> 1 copieur-imprimante-fax
    >> 40 places assises

  • Nos horaires : Du lundi au vendredi de 8h30-12h30 et  14h00-18h30

 

  • Contacts :

    >> Valérie Garrec : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
  

Les catalogues et bases de données sont consultables à distance (Accès libre pour le catalogue et authentifié pour les bases de données) via le portail documentaire de l’UPPA.

Le fonds documentaire du CDRE est organisé selon un plan de classement thématique des grands axes de recherche du laboratoire et en lien avec les UE enseignées en Master EEI :

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 Plan de classement

>> Consulter le plan de classement

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 Catalogue
 Le catalogue bibliographique (Aleph) des ouvrages du CDRE  est consultable par le portail    documentaire de l’UPPA.

>> Accéder au catalogue (libre accès)

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 Liste des périodiques

>> Consulter la liste

 Bases de données juridiques via le portail documentaire de l’UPPA (Dalloz, LexisNexis, Lextenso, Lamyline, Editions Législatives…) (accès sur authentification)

>> Accéder aux bases de données (accès authentifié)

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Think tank review

 Nouvelles acquisitions

>> Consulter le bulletin des nouveautés

 

Revue des think tanks Bulletin mensuel élaboré par le Conseil de l'Union européenne

             Consulter le dernier bulletin

                      Nouvelles acquisitions


Dans le cadre du Master Etudes Européennes et Internationales, le programme académique est complété par diverses activités obligatoires qui font partie intégrante de la formation. Les étudiants sont invités à s'impliquer dans diverses visites, déplacements et manifestations scientifiques. Ils sont également les acteurs de journées d'exercices pratiques destinés à les placer en situation professionnelle.

 

Centre d'excellence Jean Monnet d'Aquitaine
UNiversités d'éTé


Le CDRE est l'un des trois piliers du Centre d'Excellence Jean Monnet d'Aquitaine, labellisé par la Commission de l'UE, avec ses partenaires de l'Université et de l'IEP de Bordeaux. La rentrée académique s'effectue dans le cadre d'une Université d'été, à Bayonne et Bordeaux, mêlant les différentes promotions des masters des trois entités. 

 

 - Septembre 2019 : Le Conseil de l'Europe, 70 ans et après ?

  - Septembre 2018  : Les nouvelles mobilités

  - Septembre 2017  : Du modèle Schengen à de nouveaux espaces répressifs transnationaux  

          - Septembre 2016 : L'Union européenne "in/out"

          - Septembre 2015 :  L'Union européenne et la mer

          - Septembre 2014 :  Quelle démocratie européenne ?

 

JOURNÉES EUROTÉMIS

La tenue des journées Eurotémis, patronnées par la Région et l'Union, est l'un des grands rendez-vous de l'année universitaire qui se tient dans les locaux de l'IEP de Bordeaux, réunissant les masters européens bordelais et bayonnais, autour de thèmes d'actualité européenne et de grands témoins de la vie politique, économique et sociale.

 

 - Novembre 2020 : L'Union européenne s'est-elle enfin politisée ?

Programme détaillé : ici

Compte-rendu des étudiants du Master EEI : ici

- Novembre 2019 : L'Europe de la Défense

- Novembre 2018 : La politique commerciale de l'UE 

     Dossier des étudiants

  - Octobre 2017 : Etre citoyen européen en 2017 

  - Novembre 2016 : La désintégration de l'Europe ? 

          - Novembre 2015 :  L'espace Schengen: problème ou solution aux flux migratoires et à la sécurité en Europe ?
            Dossier des étudiants

          - Novembre 2014 :  Quelle compétitivité pour l'Union européenne ?
            Dossier des étudiants

          - Novembre 2013 :  L'Europe à la carte
            Dossier des étudiants

 

JOURNEES D'ETUDES TRANSFRONTALIERES FACULTE DE BAYONNE/UPV

Les Journées d'études transfrontalières sont organisées chaque année en partenariat avec l'Université du Pays basque de San Sebastian. Elles réunissent les étudiants de Master 2, les universitaires et des professionnels autour de plusieurs tables rondes.

- Février 2020 :3ème Journée d'études sur le thème : "L'Etat de droit à l'épreuve de la construction de l'Union européenne"  En collaboration avec l'Université du Pays basque UPV/EHU de San Sebastian,  7 février 2020.  

- Mars 2018 : 2ème Journée d'études sur le thème : "L'Union européenne à la recherche de la Confiance mutuelle entre les Etats membres". En collaboration avec l'Université du Pays basque UPV/EHU de San Sebastian, 23 mars 2018

- Février 2017 : Ière Journée d'études sur le thème : "20 ans après le Traité de Bayonne" - "La coopération policière et judiciaire". En collaboration avec l'Université du Pays basque UPV/EHU de San Sebastian, 17 février 2017

 

Exercices de SIMULATION-négociation

Accoutumer les étudiants à des jeux de simulation et des exercices de négociation est important pour leur formation professionnelle, en vue d'acquérir une expérience pratique du dialogue et de la connaissance des processus de décision. D'où un travail spécifique, préparé en amont et conduit dans le cadre du Centre d'Excellence Jean Monnet en partenariat avec les masters de l'IEP de l'Université de Bordeaux. 

- Année 2019-2020 : Simulation au sein du Parlement européen sur le thème : "FRONTEX"

Dossier photos de la simulation (Bayonne - Février 2020) : ici

- Année 2018-2019 : Simulation au sein du Parlement européen sur le thème : " FRONTEX "

Dossier photos de la simulation (Bayonne - Février 2019) : ici

- Année 2017-2018 : Simulation au sein du Parlement européen sur le thème : "L'avenir de Erasmus+" sur le thème : "L'avenir de Erasmus+"

Dossier photos de la simulation (Bayonne - Février 2018) : ici

          - Année 2015-2016 : Négociations au sein du Parlement européen de la mise en place d'un système européen de relocalisation en cas de crise migratoire

          - Année 2014-2015 : Négociations au sein de la Commission européenne d'une communication portant sur la lutte contre la traite des êtes humains.

          - Année 2013-2014 : Renvoi d'une question préjudicielle à la Cour de justice de l'Union européenne portant sur le mandat d'arrêt européen, Affaire "Aurore Martin".

 

Visite des institutions européennes

- Année 2018-2019 : Dossier préparatoire élaboré par les étudiants EEI et programme des visites : ici

- Année 2017-2018 : Le programme des visites des institutions européennes : ici

    - Année 2016-2017 : Le programme de la visite des institutions européennes a conduit les étudiants à Strasbourg, Luxembourg et Bruxelles, où ils ont rencontré : 

    • Zampia Varnadaki, Administratrice, Parlement Européen
    • Yves BOT, Avocat général à la Cour de Justice de l'Union européenne
    • Maud VIEUX, Référendaire à la CJUE
    • Hervé CASSAGNABERE, Référendaire à la CJUE
    • Estelle BOCQUILLON, Référendaire à la CJUE
    • Jean-Marie GARDETTE, Chef d'unité à la DG Traduction
    • Dimitrios KONTIZAS, Chef de secteur, DG Emploi
    • Diane ANGERMUELLER, Policy coordinator, DG Migration and Home affairs
    • Vincent SNEED, Director Regulatory Affairs & Manager à l'Association Européenne des Radios
    • Mathieu CHAVRIER, Legal advisor, Conseil de l'Union européenne

       - Année 2015-2016 : Le programme de la visite des institutions européennes a conduit les étudiants à Strasbourg, Luxembourg et Bruxelles, où ils ont rencontré :

    • Virginie Rozière, eurodéputée et marraine de la promotion des masters AEI 2015-2016
    • Jean-Claude Bonichot, juge à la Cour de justice de l’UE
    • Stéphane Gervasoni, juge au Tribunal de l’UE
    • Yves Bot, avocat général à la Cour de justice de l’UE
    • Robert Spano, juge à la Cour européenne des droits de l’homme
    • Marie-France Baud, Directrice du bureau du think-tank Confrontations Europe
    • Fabian Lutz, Senior policy officer à la DG Home Affairs de la Commission

          - Année 2014-2015 : Le programme de la visite des institutions européennes a conduit les étudiants à Strasbourg, Luxembourg et Bruxelles, où ils ont rencontré :

    • Michèle ALLIOT-MARIE, député européen
    • Eric ANDRIEU, député européen
    • Robert SPANO, juge à la Cour européenne des droits de l’homme
    • Yves BOT, avocat général à la Cour de justice de l’Union européenne
    • Stéphane GERVASONI, juge au Tribunal de l’Union européenne
    • Hervé CASSAGNABÈRE, référendaire du juge Jean-Claude BONICHOT à la Cour de justice de l’Union européenne
    • Peter ZANGL, ancien Directeur général de la Commission européenne
    • Fabian LUTZ, Senior policy officer à la DG Home Affairs de la Commission européenne

          - Année 2013-2014 : Le programme de la visite des institutions européennes a conduit les étudiants à Strasbourg, Luxembourg et Bruxelles, où ils ont rencontré :

    • Stéphane GERVASONI, juge français Tribunal de l’Union européenne
    • Yves PASCOUAU, expert au European Policy Centre
    • Emilio DE CAPITANI, ancien chef de division à la Commission LIBE du Parlement européen
    • Krzysztof WOJTYCZEK, juge polonais à la Cour européenne des droits de l’homme
    • Hervé CASSAGNABERE, référendaire du juge Jean-Claude Bonichot à la Cour de justice
    • David MAS, référendaire de l’avocat général Yves Bot à la Cour de justice

 

 

PROJET COLLECTIF DU PARCOURS COOPERATION TRANSFRONTALIERE

 

Dans le cadre du parcours Coopération transfrontalière et inter-territoriale, il est demandé aux étudiants de mener à bien un projet collectif. Qu’il s’agisse de répondre à une commande ou de s’investir dans un domaine qui leur est cher, les étudiants réalisent ensemble un évènement (journée d’étude, forum…) et/ou présentent un « livrable » (diagnostic, guide méthodologique, site Internet…). De la recherche de financements à la logistique, en passant par le management, la communication, les relations avec les élus politiques et les investigations de fond, la conduite de ce projet concret est un exercice professionnalisant indispensable à la formation de futurs experts en ingénierie de projet.

- Année 2020-2021 : Covid19 et coopération transfrontalière : quelle gestion pour les frontières ? (videos de présentation du projet)

- Année 2019-2020 : Réflexion sur la dimension transfrontalière du futur parc naturel régional Montagne Basque (Diagnostic)

- Année 2018-2019 : La mobilité transfrontalière des stagiaires au sein de l'Eurorégion (Journée d'étude du 28 mars 2019)

- Année 2017-2018 : Partenariats transfrontaliers franco-espagnols : leviers de développement pour une coopération avec les pays du Sud ? (Colloque du 06 avril 2018)

- Année 2016-2017 : La santé transfrontalière au Pays Basque (Colloque du 24 mars 2017)

 

- Année 2015-2016 : Vers un statut de l'étudiant transfrontalier? (Colloque du 31 mars 2016)

                               Bilan du colloque rédigé par les M2 JE

                                      La presse en parle...

Video de présentation du colloque 

 

- Année 2014-2015 : Donostia/San Sebastian 2016, capitale européenne de la culture: quelles opportunités pour le territoire ?

 

 

- Année 2013-2014 : Travailler au Pays-Basque: mission impossible ?

 

- Année 2012-2013 : Nature sans frontières.

 

- Année 2011-2012 : Melting Peuples : voyage au coeur des cultures.

 

LEGISTIQUE


Les étudiants du Master 1 qui choisissent de suivre le cours de légistique apprennent à confectionner un texte et se familiarisent avec les règles de base de la rédaction législative. A partir du texte rédigé, les étudiants sont confrontés à un contentieux et plaident par équipe devant le TGI de Bayonne.

 

 

1. Présentation

La formation doctorale permet aux jeunes chercheurs de s’inscrire dans une dynamique collective au sein d’un laboratoire de recherches largement ouvert sur l’extérieur. Le GDR CNRS sur l’ELSJ leur offre la possibilité d’alimenter un blog au gré de l’actualité et de participer chaque année à des ateliers doctoraux réunissant des chercheurs venant d’autres universités françaises et européennes (Toulouse 2009, Bayonne 2010, Barcelone 2011, Lyon 2012, Aix 2013, Nanterre 2014, Luxembourg 2014).

L'implication du laboratoire dans des réseaux d’expertises européens (Odysseus, ETIC, ECLAN) leur donne l’occasion de se forger une solide expérience au sein de leur domaine de recherche dans le cadre d’études ou de projets réalisés le plus souvent pour le compte des institutions européennes.

Les jeunes chercheurs participent à la rédaction de la rubrique ELSJ de l’Annuaire de droit de l’Union européenne ainsi qu’à l’alimentation d’une base de données spécialisée du laboratoire.

Ils ont l’opportunité, dans le cadre de leur formation doctorale, de dispenser des enseignements et d'encadrent les exercices de master.

Ces activités préparent les futurs docteurs en droit à intégrer le monde de l’enseignement et de la recherche dans le milieu universitaire. Elles préparent également à prendre place dans le monde des think tanks et des ONG, le tissu associatif, le milieu de l’entreprise ou des laboratoires de recherches nationaux et internationaux. Enfin l’avocature, la magistrature ou les concours administratifs sont ouverts à celle ou celui qui a obtenu son grade de docteur.

2. Témoignages

 

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3. Thèses en cours

 

NOM Prénom Directeur de thèse Intitulé
BAUTISTA Daniela LABAYLE Henri -   J. GOIZUETA VERTIZ L'espace frontalier dans l'Union européenne : un défi pour l'espace Schengen
BERTHELET Pierre LABAYLE Henri La sécurité intérieure européenne. Les rapports entretenus entre le droit et la politique publique
BOMASSI Gaelle ALBERTON Ghislaine Vers l’avènement d’un droit français de la commande publique sous l’effet des exigences communautaires ?
BONNET Adrienne RIEM Fabrice Les fusions transfrontalières des sociétés en droit européen et international
DA FONSECA Amélie LABAYLE Henri Intégration européenne et subsidiarité juridictionnelle
DUMONT Léa BERNARD Alain - RIEM Fabrice Droits sociaux fondamentaux et libertés économiques dans l'Union européenne
FONTAINE Marion ALBERTON Ghislaine - RIEM Fabrice Espace de liberté, sécurité et justice et marché intérieur
GARCIA Marie LABAYLE Henri Le retour de l'étranger dans l'Union européenne
GUIRESSE Marguerite LABAYLE Henri Le principe de confiance mutuelle dans l'Espace de Liberté, Sécurité et Justice
NAMASSA Zakaria ALBERTON Ghislaine - EISENBERG  Ewald Le renforcement des capacités des acteurs de la décentralisation en France et en Afrique de l'Ouest. Etude comparative du statut de la fonction publique territoriale
PETIN Joanna LABAYLE Henri La notion de personne vulnérable dans le droit d'asile
SAUMAGNE Charlotte DUMOULIN Lisa La lutte contre l’infraction de blanchiment de capitaux et la protection des intérêts financiers de l’Union européenne
SOBOTICOVA Simona LABAYLE Henri - UGARTEMENDIA Juan Ignacio La libre circulation des ressortissants des pays tiers dans l'UE et son impact sur l'intégration
TEYSSIER Céline BERNARD Alain - RIEM Fabrice La vie du salarié, essai sur l'influence de la CEDH sur le droit du travail en France
YATIME Kathy-Leen LABAYLE Henri La sécurité intérieure et le traitement des données à caractère personnel dans l'espace judiciaire européen

 

 

Le parcours "Juriste européen" s'adresse à des juristes, privatistes comme publicistes, ou à des politistes désireux de maîtriser les composantes indispensables à leur formation.

Qu'il s'agisse "d'européaniser" leurs acquis de droit interne ou bien de se spécialiser résolument en matière européenne, il vous ouvre deux voies : la voie "recherche" et la voie "professionnelle". Il cumule donc les aspects théoriques et pratiques des différents secteurs de la vie publique et économique européenne avec une volonté forte de donner une dimension concrète, opérationnelle et inter-active aux enseignements dispensés.

Ce parcours a pour particularité unique d'associer très largement aux enseignements des universitaires européens réputés autant que des professionnels de l'Union.
Galeries de photos et témoignages d'anciens étudiants permettent de mesurer la diversité et la richesse des débouchés que ce parcours européen ouvre, en France comme à l'étranger. 

    

MASTER ETUDES EUROPEENNES ET INTERNATIONALES présentation site CDRE 2021

Emplois du temps               Dossiers d'inscription                 Contact

2018

2017

  • Ière Journée d'études sur le thème : "20 ans après le Traité de Bayonne" - "La coopération policière et judiciaire". En collaboration avec l'Université du Pays basque UPV/EHU de San Sebastian, 17 février 2017

2015

  • IIIème Journée d'études du cycle "l'Europe et ses frontières", sur le thème : "Les 30 ans de l'espace Schengen". En collaboration avec J.I. Ugartemendia (Chaire Jean Monnet), Université du Pays Basque UPV/EHU, 16 janvier 2015

  • Projet de recherches « Violence politique et Justice transitionnelle », soutenu par un Bonus Qualité Recherche, auquel le CDRE participe en association avec deux autres laboratoires de recherches de l’UPPA : le LAM-UPPA et le CRAJ. Le projet est mené en partenariat avec l’Institut Universitaire Varenne et l’Association Francophone de Justice transitionnelle.

2014

2013

  • IIème Journées d'études du cycle " l'Europe et ses frontières ", sur le thème: " Le modèle démocratique et ses frontières", en collaboration avec J.I. Ugartemendia, Université du Pays Basque UPV/EHU, les 7 et 8 novembre 2013.

  • Cycle de conférences « Médias, Paix et Démocratie » - 8 au 26 avril 2013. Dans le cadre de l’exposition itinérante « Cartooning for peace », trois conférences liées aux thématiques de la Justice transitionnelle ont été organisées en partenariat avec l’Institut Universitaire Varenne : « Médias, Paix et Démocratie », « Journalistes et conflits » et « Images et conflits ».

2012

2011

  • Table ronde : " Démocratie, Modèle européen et protection des droits fondamentaux ", le 1er avril 2011, avec les juges de la Cour européenne des droits de l'Homme Lech Garlicki et Corneliu Birsan.

2010

 

La seconde année du Master EEI est doublement une année de spécialisation. Spécialisation matérielle, d'abord, car elle est fondée sur les connaissances acquises l'année précédente et les choix opérés parmi les matières de spécialité. Ces orientations vont guider le choix parmi les 4 parcours offerts aux étudiants. Spécialisation des objectifs ensuite, puisque, selon les parcours, elle offre une voie "recherche" ou une voie "professionnelle".

Cette seconde année est caractérisée par une place importante faite aux pratiques linguistiques, aux exercices pratiques et à une forte implication de professionnels et d'universitaires et praticiens étrangers dans les enseignements. Elle s'achève par un stage ou la rédaction d'un mémoire de recherche.     

 

MASTER ETUDES EUROPEENNES ET INTERNATIONALES présentation site CDRE 2021

Le travail du CDRE se concrétise principalement à travers sa production scientifique. Celle-ci prend la forme de publications individuelles et collectives dans des revues internationales et nationales de référence. Cette politique associe l'ensemble des chercheurs, y compris les doctorants.

Le détail de cette production est présenté dans la rubrique "réalisations du CDRE depuis 2011".

L'activité scientifique du CDRE se manifeste également avec la tenue de journées d'études, tables rondes et colloques qui concrétisent les collaborations extérieures du laboratoire et approfondissent les questions abordées au quotidien par le laboratoire (droits fondamentaux, frontière, traite des êtres humains, droit des minorités ...).


   

recherche


Suivre l’un des 5 parcours du Master Etudes Européennes et Internationales à la Faculté de Bayonne, c’est avoir la certitude d’une formation de haut niveau, dans un environnement privilégié. Accompagnés par des universitaires et de nombreux professionnels français et étrangers, vous pourrez valoriser vos compétences dans une perspective aussi bien européenne que nationale, dans un cadre personnalisé.

Explorez les schémas et les liens sur chaque parcours qu'ils contiennent pour en découvrir la diversité, apprécier l'intérêt des choix et des activités pédagogiques qui vous sont proposés et la variété des débouchés professionnels qu'ils offrent. 

François-Vivien Guiot, Directeur du Master EEI 

    

MASTER ETUDES EUROPEENNES ET INTERNATIONALES présentation site CDRE 2021

Le travail en réseau caractérise la recherche conduite au CDRE. Ses membres collaborent avec des collègues ou des équipes universitaires engagées dans des recherches collectives menées au plan européen et national (universités de Bruxelles, Louvain, Milan, Genève, Madrid, Institut européen de Florence, universités de Navarre et du Pays basque).

Ces travaux sont conduits le plus souvent en liaison avec les institutions de l’Union, telles que la Commission et le Parlement.

1. Réseaux européens 

Le CDRE est aujourd'hui un partenaire naturel des grands réseaux universitaires européens travaillant sur l'ELSJ :

    • ODYSSEUS, créé par la Commission, est coordonné par l'Universite Libre de Bruxelles, il réunit les universités européennes spécialisées en matière d'asile et d'immigration,
    • ECLAN, coordonné par l'Université Libre de Bruxelles, réunit universitaires et praticiens autour des questions de droit pénal européen.

Le CDRE exploite ses relations de collaboration sur le plan transfrontalier avec les universités espagnoles voisines, sous la forme de réseaux thématiques soutenus par les collectivités territoriales :

    • ETIC réunit les universités de Pampelune, Saint Sébastien et le CDRE. Il travaille sur les questions de lutte contre le terrorisme, de traite des êtres humains et d'immigration illégale,
    • ESECO sur les solutions extrajudiciaires des conflits transfrontaliers : médiation et arbitrage

 

2. Réseaux nationaux

    • Le CDRE est à l’origine de la création d’un Groupement de Recherches (GDR), basé et animé par le CDRE, le GDR CNRS n°3452 dédié au « Droit de l’Espace de liberté, sécurité et justice. Il réunit les laboratoires européens des universités d’Aix Marseille, Lyon, Toulouse, Nanterre.
    • la création du Centre d'Excellence Jean Monnet d'Aquitaine labellisé par la Commission en 2014 offre des perspectives de collaboration intégrée au CDRE avec ses partenaires de l'Université de Bordeaux (CDREI) et de Sciences-Po Bordeaux. 

 

3. Partenariat

L’action du CDRE est fortement appuyée par un travail en partenariat mené en collaboration avec l’Institut Universitaire Varenne, association créée sous l’impulsion de la Fondation Varenne et dont l’objet social consiste à promouvoir et diffuser les connaissances dans les domaines de la Paix, de la Démocratie et de la Presse.

Ce partenariat contribue à l’édition et la diffusion de la revue Est Europa, ainsi qu’au développement des activités liées aux transitions démocratiques et à la Justice transitionnelle.


La première année du master EEI constitue le tronc commun à l'intérieur duquel apparaissent déjà des matières de spécialité, aux cotés des enseignements classiques de droit interne généralement dispensés dans les master de droit, du droit public économique à celui des entreprises ou au droit civil.

Les choix ouverts aux étudiants sont fonction de leur projet personnel. La particularité de la formation tient dans 2 caractéristiques :
             - offrir des enseignements suffisamment généralistes pour permettre à chacun de confirmer ou non son choix d'orientation
        - mettre déjà fortement l'accent sur des exercices professionnalisants (notes, culture, légistique etc ...) destinés à familiariser les étudiants avec les attentes du monde du travail .


La politique scientifique du CDRE recouvre le champ général de l’intégration européenne, comprenant à la fois l'Union européenne et le Conseil de l’Europe. Elle cible trois axes spécifiques :

1. L’Espace de liberté, sécurité et justice (ELSJ) de l’Union européenne constitue un centre d’investigation majeur avec une attention particulière pour :

    • la lutte contre le terrorisme et la politique de sécurité intérieure,
    • la politique migratoire européenne, de l’asile au regroupement familial en passant par la politique d’intégration ou encore la politique de retour,
    • l’entraide répressive dans l’Union, au plan technique (la reconnaissance mutuelle, l'évaluation…) et matériel ( la traite des êtres humains, la criminalité organisée …).

 

2. L’étude des droits fondamentaux dans l’Union européenne offre un point de rencontre central entre les chercheurs des différents chercheurs du laboratoire, grâce à sa transversalité.

    • le droit matériel de l’ELSJ implique cette dimension, qu'il s'agisse de la problématique de la lutte contre le terrorisme, de la protection de l'enfant et de la lutte contre la traite des êtres humains ou encore du regroupement familial et plus généralement des droits fondamentaux des étrangers ou des nouvelles réalisations de l'Union par exemple en matière de protection des données,
    • les recherches du CDRE sont également menées sous l'angle du droit des minorités nationales dans l'Union européenne, (notamment pour les pays d'Europe centrale et orientale - PECO) et dans les États concernés par la politique de voisinage ainsi sous celui des transitions démocratiques et en particulier de la «Justice transitionnelle»,
    • l’articulation en droit de l’Union des libertés économiques et des droits fondamentaux est un objet de recherches privilégié par le laboratoire, en raison notamment de son impact sur la recomposition du système juridique et des croisements existant entre droit du Marché intérieur et ELSJ.

 

3. La frontière et les coopérations dont elle est le siège forment le troisième volet des recherches menées au sein du CDRE, comprenant les questions transfrontalières appliquées à l'Espace de Liberté, Sécurité et Justice.

 

L'objectif du parcours : Former des spécialistes du droit des mineurs grâce à un approfondissement du droit et des procédures propres à la protection de l'enfance, tant au plan interne qu'international.

L'appui sur une équipe de professionnels contribue à donner une portée concrète aux enseignements dispensés.

La direction du Master EEI  Droit Interne et Européen des Mineurs est assurée par Madame Kiteri Garcia.

visuel Master DIEM


Le CDRE est un laboratoire de recherches spécialisé en matière européenne, reconnu au plan national et européen.

  • Considéré comme un laboratoire d'excellence dans son champ scientifique, le CDRE :

    • Conduit une recherche généraliste en matière européenne, dans les grands champs de l'intégration européenne
    • A spécialisé ses investigations dans des secteurs où son expertise européenne est reconnue, en particulier dans celui de l'étude de l'ELSJ

  • Le CDRE travaille dans le cadre de réseaux scientifiques nationaux et européens. Il est l'un des trois piliers du Centre d'excellence Jean Monnet d'Aquitaine reconnu en 2014 par la Commission de l'UE, aux cotés de ses partenaires bordelais.

  • Le CDRE développe une collaboration scientifique transfrontalière appuyée avec ses partenaires de l'Université du Pays basque et de Pampelune.


 La formation doctorale du CDRE permet à nos jeunes chercheurs de s’inscrire dans une dynamique collective au sein d’un laboratoire de recherches largement ouvert sur l’extérieur. En sus de l’encadrement proposé par l’Ecole Doctorale SHS 481, les doctorants rattachés au CDRE participent à de nombreuses activités en lien avec leur intégration professionnelle future.

 

 

Le parcours M2 Droit européen des affaires et du numérique a vocation à former des juristes de haut niveau capables d'adapter les outils classiques de droit des affaires à un environnement européen et international et de répondre aux défis actuels de la pratique du droit des affaires. Il a pour objectif d'offrir une formation complète en droit des affaires et une réflexion spécialisée sur les évolution du droit des entreprises en lien avec les mutations technologiques (commerce électronique, protection de l'innovation, protection des données personnelles, responsabilité des acteurs du numériques, télé-travail...).

Chaque enseignement du parcours est articulé autour d’une approche théorique permettant une bonne maîtrise des principaux enjeux, actuels, de la matière, et de séminaires pratiques animés par les étudiants sous la responsabilité d’un enseignant ou d’un praticien du droit.

Plaquette DEAN

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